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Publié le 24/12/2022 - 18h32

LGR

  • B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

Le mix électrique doit permettre à la France d'atteindre à horizon 2050 un stade qui minimise ses impacts sur l'environnement, dont le changement climatique. Pour maitriser ces impacts, il est primordial de réindustrialiser la France. Viser une indépendance sur le plan énergétique et industrielle permet à termes de mieux gérer le manque de ressources fossiles, qui permettent actuellement la mondialisation, dont nous dépendons fortement. Il est par ailleurs essentiel de ne pas perdre de temps dans la constitution de ce mix, en cessant de saper les entreprises nationales telle qu'EDF au profit d'une concurrence (voir ARENH) qui n'apporte rien au pays comme au consommateur ainsi qu'à l'avenir des jeunes générations.