Publié le 25/10/2022 - 18h24
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Il est illusoire de vouloir a la fois sortir du nucléaire et des énergies fossiles d'ci 2060. La priorité doit être donnée a la réduction des émissions de CO2 et a la dépendance au pétrole. Le Nucléaire doit compléter les EnR tout en devenant plus efficace. On peut se demander pourquoi une partie de l'Energie utilisée pour produire de la vapeur d'eau est rejetée dans l'atmosphère ou en mer: pourquoi ne pas chauffer des serres, des bâtiments publics ou des logements ? Concernant l'implantation des nouveaux réacteurs, je ne souhaite pas l'ouverture de nouveaux site en France: il y en a bien assez et les nouveaux réacteurs doivent être implantes au cœur des centrales existantes (Penly, Gravelines et Tricastin semblent constituer les meilleurs choix mais les études approfondies devront le confirmer).
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