Publié le 25/10/2022 - 20h50
-
A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
-
D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Je suis pour les projets intenses en énergie, qui permettent de réduire non seulement le coût mais surtout l'empreinte (CO2, biodiversité) des projets. Le nucléaire reste pour moi une option sérieuse pour sa compétitivité en termes d'empreinte CO2, de pilotabilité, d'impact sur la biodiversité. Reste la question de sa compatibilité avec les sécheresses prévues pour les décennies à venir... Préférer les projets en bord de mer ? Quid de la hausse du niveau de la mer et des phénomènes violents...
Partager la page
Soutiens