Publié le 25/10/2022 - 21h51
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
L'habitat est le sujet le plus facile à traiter : on sait faire, on a les solutions ; il suffit de les appliquer. Reste le coût de l'isolation des logements mal [mot modéré]çus thermiquement. Faut-il les isoler avec des matériaux difficilement reyclables ou vaudrai-il mieux les déconstuire en recyclant les matériaux actuels ? Il est aussi certain que l'énergie des habitations (et des bureaux) peut être à 100% renouvelable rapidement : couplage solaire thermique, solaire photovoltaique, systèmes thermodynamiques et géothermie, réseaux de chaleur à basse température alimentés par des centrales à déchets de bois ou du biogaz, poêles-chaudières à granulés de bois réservés pour les zones où le reseau de biogaz n'existera pas.
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