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Publié le 25/10/2022 - 23h31

FLAM

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

L'usage des bâtiments émet 20% des GES. Des efforts très importants individuellement et collectivement en autorisant l'utilisation d'énergies renouvelables dans une ou deux pièces. Mais il faut surtout entreprendre une isolation des habitations et des entreprises existantes, sans oublier tous les bâtiments de l'administration. Cela aurait un double impact: 1 - La main d’œuvre nécessaire est sur place. Besoins de formations/conversions des personnels travaillant dans les énergies fossiles directement ou indirectement (ex moteurs thermiques). 2 - Ces nouveaux emplois seront en nombre important, réduisant de manière sensible le chômage Mais le bâtiment représente aussi un coût en terme de CO2 lors de sa construction. Il faut imaginer des constructions biosourcées et des matériaux moins énergivores (brique ?)