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Publié le 26/12/2022 - 14h32

Teckdiard

  • A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

J'ai choisi les réponses A et D mais je souhaite les nuancer ! A: Les centrales nucléaires sont de fait déjà réparties sur une faible partie du territoire, pour ce qui est des énergies renouvelables, je pense qu'il faut oui densifier certains secteurs déjà utilisé par les EnR comme le nord de la France il y en a déjà beaucoup, densifier légèrement plus d'accord sans pour autant en mettre tout les 500m. Je pense que d'autres secteurs à géographie réduite (échelle EPCI et un peu +) peuvent accueillir de grands parcs éoliens, je pense néanmoins qu'il faut mettre les éoliennes là où le gisement est fort donc inévitablement l'éolien sera répartie de manière inégalitaire. (par exemple on pourrait imaginer que dans certains département où la puissance éolienne est déjà forte (nord/somme/marne etc densifier les parcs et faire d'une dizaine de département les département producteurs d'énergie éolienne loin devant les 90 autres, avec néanmoins dans les 90 autres certaines zones avec des parcs éoliens localisés). Pour le solaire en revanche, je pense qu'il est intéressant de construire de grands parcs photovoltaïques dans des zones plates et ensoleillées et d'en densifier le nombre dans la moitié sud de la France et de répertorier certains secteurs (échelle EPCI voir département) où l'installation de solaire pourrait être plus dense qu'ailleurs. La moitié nord de la France aurait aussi des parcs solaires mais dans une moindre mesure (exemple : 80% de la capacité dans le sud et 20% dans le nord, les parcs solaire dans le nord pourraient être proche des parcs éoliens et raccordé à leur PDL). Ainsi on pourrait conservé des zones sans ou très d'éoliennes et pareil pour le solaire. Ailleurs répartie sur le territoire français des parcs solaires pourraient émergeaient mais bien intégrer (ancienne carrière/décharge, lieu caché, parkings). Je pense aussi que les picocentrale hydroélectrique devraient se déployer, j'entend par là de mini centrales de quelques kW de puissance installées sur des petits cours d'eau qui permettraient l'alimentation électrique locale (5 à 40 foyers) B : l'indépendance énergétique doit être un leitmotiv avec tout les à côté (matériaux etc)