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Publié le 27/10/2022 - 10h52

FloCDP06

  • B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

Obliger tout le monde à vivre à 17 degré en hiver me semble un peu radical, si tout le monde tombe malade ... donc j'ai choisi la réponse B mais la question me semble quand même très mal posée. Réduire de 1 degré à partir de combien? Quid de l'été ? Ne serait il pas plus intéressant de s'atteler à la déperdition énergétique de manière à garder une température de confort une fois celle ci atteinte par thermostat? Commencer par isoler mieux l'intérieur en s'occupant des prises électriques et des fenêtres par exemple et en éteignant voire en débranchant tous les appareils électriques non utilisés en particulier la nuit mais aussi de jour. Pour l'eau chaude il faudrait inciter à l'utilisation du solaire. Bien sûre pour isoler l'extérieur il faudrait aller vers les bâtiments positifs qui ne nécessitent ni chauffage ni climatisation et voir dans quelle mesure on peut transformer à moindre coût des bâtiments existants en bâtiments positifs. Bien sûr condamner sous peine d'amendes disuasives l'ouverture des portes ou fenêtres y compris dans tous les établissements publics (écoles et autres) quand le chauffage ou la climatisation est en fonction tout en assurant une bonne aération automatique des pièces pour éviter la contamination COVID ou l'humidité...