Publié le 27/10/2022 - 12h31
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B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Tchernobyl, Fukushima et l'impact écologique des déchets ont remis en cause les bénéfices d'une politique énergétique tout nucléaire. Aujourd'hui on peut dire qu'il y a concensus sur la nécessité d'un mix énergétique si nous voulons maintenir un certain niveau d'industrialisation et un certain confort de vie à condition que le nucléaire soit le plus sécurisé possible et que son impact sur l'environnement soit minimal. Avec le réchauffement climatique je me pose d'ailleurs la question du refroidissement des centrale si la température de l'eau augmente... Le COVID a clairement changé la vision de la dépendance à la mondialisation et il nous faut acter qu'en plus des critères environnementaux il nous faut rajouter des critères de résilience c'est pourquoi j'ai fait les choix B et D.
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