Publié le 27/10/2022 - 12h55

• A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

Voici la suite de ma contribution à la question 1.1 sur les mobilités, click trop rapide: De plus en plus les vélos peuvent permettre de satisfaire aux usages que l'on demande à la voiture, il y a besoin de communiquer sur leurs possibilités: -Besoin d'amener un, deux ou trois enfants à l'école ou aux activités extrascolaires, ou de faire des courses: le vélo cargo, le longtail, le triporteur électriques permettent tout à fait cela dans de bonnes conditions (sans fatigue ou transpiration, en étant protégé de la pluie avec les capotes adaptées, sans difficultés pour le stationnement, et à un cout d'achat très faible par rapport à la voiture, et avec un cout d'usage quasi nul (1kw/h au 100 au lieu de 15kwh/100 pour une voiture électrique). Pour la question 1.2: Il faut également faire de la pédagogie sur comment aérer correctement une pièce/un logement en limitant les pertes énergtétique: même si un logement est très bien isolé, l'aérer trop longtemps va faire exploser la facture de chauffage, de nombreux foyers n'ont pas été sensibilisé aux bons gestes de l'aération: il ne faut évacuer l'air de la pièce, si possible par courant d'air, mais ne surtout pas laisser les murs se refroidir. La durée de max doit être de 10 minutes l'hiver. Une campagne de publicité à la télé pourrait générer des GH de chauffage économisé et des centaines de milliers d'euro d'économie.