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Publié le 27/10/2022 - 17h13

Philippe

  • A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

- Optimiser l’occupation des sols dédiés à la production énergétique afin de réserver la meilleure part à l’agriculture ; l’emprise au sol d’un site nucléaire est très faible (0,1 m2/MWh) comparée à celle de l’éolien (1 m2/MWh) ou du photovoltaïque (10 m2/MWh); - Renforcer l’indépendance de la production électrique française comme ce fût le cas dans les années 1970 ; pour s’inscrire dans cet objectif, les CNPE présentent le double avantage d’une production de « base » de forte capacité et entièrement pilotables en fonction de la demande;