Publié le 27/10/2022 - 18h17
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
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E - La minimisation du coût global du système électrique (moyens de production, moyens de flexibilité et de stockage, évolution des réseaux) pour conserver un prix de l’électricité compétitif pour les consommateurs
Il faudrait connaitre parfaitement le système électrique français pour hiérarchiser avec précision ces possibilités. Quoi qu'il en soit, le modèle allemand visant à augmenter la part des renouvelables mais qui finalement relance des centrales à charbon pour cause d'intermittence est à éviter à tout prix. La France avait un système électrique performant, bas carbone et compétitif grâce au nucléaire. Quel dommage d'avoir tout gâché par manque de planification énergétique sur le long terme.
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