Publié le 27/10/2022 - 21h55
-
A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
Je suis pour, et applique déjà au moins en partie, ces efforts. Cependant, une partie non négligeable des émissions liées à la gestion des bâtiments ne dépendent pas de l'individu mais du collectif. Pour n'en citer que quelques exemples, les lieux de travail, les bâtiments de l'Etat, écoles et universités. Une autre solution, à mon sens, est d'investir dans des moyens de sobriété collective, comme par exemple l'extension des réseaux de chaleurs, qui permettrait l'accès à un chauffage plus sobre et moins coûteux pour les moins fortunés que d'autres options (pompe à chaleur etc)
Partager la page
Soutiens