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Publié le 27/12/2022 - 11h57

Gwen57

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

Même si l'idée d'une moyenne à 17 degrés ne m'enchante pas personnellement , (19 degrés dans un bureau avec un travail sédentaire est un défi pour les doigts !) les 40 degrés moyen en été m'enchante encore moins. Notre société s'est habitué à un niveau de confort indécent, demandant de l'énergie électrique pour le moindre effort et d'extraire des ressources pour développer des objets à l'utilité relative pour ne pas dire inutile (volets électriques, moulin à poivre électrique ...) . Il est temps non seulement de réduire nos consommations mais surtout de prendre conscience de l'énergie demandé pour arriver à ce niveau de confort. Il est donc essentiel de continuer les campagnes d'informations et de sensibilisation (il est plus facile d'agir quand on comprend la porté de nos actions) et de développer en parallèle une économie plus circulaire qui permettra une éco conception des appareils électriques essentiels et l'allongement de leur durée de vie. On oubliera pas de faire un focus sur les activités économiques ( centre commerciaux surchauffés) et les populations les plus aisées ( ou endettées) : interdiction de construire des piscines individuelles (on aura pas à vérifier qu'elles ne sont pas chauffées) etc , etc , etc Les efforts doivent venir de tous et surtout de ceux dont l'empreinte carbone est la plus lourde.