Publié le 28/10/2022 - 18h48
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique
Il importe alors dans ce scénario : • de minimiser l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses. En corollaire, les coûts de raccordement au réseau restent maîtrisés. Il peut néanmoins en être différemment pour les réacteurs modulaires qui peuvent jouer un rôle sur la décentralisation de la production d’électricité pilotable ou de chaleur pour par exemple l’industrie lourde. • d’envisager la compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique. A ce jour les perspectives de consommation électrique dans les scénarios notamment RTE 2050 ne sont pas à l’échelle de cette hypothèse de forte réindustralisation (d’une industrie néanmoins fortement décarbonée), et en tout cas moindres que les prévisions de nos voisins européens…
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