Publié le 28/10/2022 - 21h36

• B - Des projets de petites tailles, spécifiquement sur les toitures et chez les particuliers, avec l’impact patrimonial qui accompagne ce choix

Il y a suffisamment de surface batie, toiture, façades bien orientées, parking, etc... pour qu'on puisse y installer à grande échelle du photovoltaïque sans avoir besoin de préempter encore plus de surface naturelle. Le principe d'autoconsommation devrait être encouragé et non freiné comme il l'est aujourd'hui. Beaucoup d'autoconsommateurs refusant la complexité administrative, et donc prêt à donner gratuitement leur surplux sont freinés aujourd'hui par : la limitation à 3kW du don, (il devrait être limité uniquement par la puissance de soutirage souscrite), la non-gratuité du don (paiement de la TURPE une 2ème fois pour donner gratuitement..., alors qu'il n'y a aucune modification du compteur Linky, aucun comptage), les démarche administrative ambigu (PLU en contradiction avec la loi, par exemple intégration/surimposition), . L'autoconsommateur ne coute rien à société, devient naturellement sobre, participe à l'élimination des pic de consommation de 12h, et peut même donner gratuitement son surplux. Aucune modification du réseau RTE / ENEDIS n'est nécessaire, à la différence des grandes installation. Les périmètres ABF sont aussi un frein important : L'urgence climatique devrait pousser à un peu plus de tolérance de l'ABF dans l'acceptation ou l'adaptation des projets. Le Photovoltaïque devrait être imposé dans toute construction neuve ou réfection totale de toiture au titre de l'urgence climatique.