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Publié le 28/12/2022 - 00h39

carol

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

Les réponses proposées sont étonnantes, car elles ne font état que des usages, et non pas de l'état des bâtiments. Mon logement a été isolé par l'extérieur. Ce qui a complètement changé le confort intérieur et la consommation. Pas de portail électrique, ni de volets électriques. Wifi déconnectée la nuit. Sur chaque prise, il y a un interrupteur avec voyant lumineux pour tout éteindre dès qu'on n'a plus d'utilisation. Et les ampoules les plus économes ont été mises sur les lampes les plus utilisées. Il serait important d'obliger les fabriquants de matériels électriques à supprimer les veilles des appareils car elles consomment de l'énergie pour rien (on dit que la consommation de tous les appareils en veille représente une tranche nucléaire). Il serait aussi important de limiter le plus possible les chauffages électriques car ils contribuent aux pointes d'électricité en hiver qui posent problème. De plus, le chauffage électrique est le mode de chauffage avec le pire rendement, puisque la fabrication de l'électricité avec les centrales thermiques (gaz, charbon ou uranium) a un rendement de 30% seulement. Il serait aussi important d'imposer les applications telles que celle de la SNCF à être le plus économe possible en énergie.