Publié le 28/12/2022 - 15h02

• B - Un haut niveau d’excellence opérationnelle de la filière tant en ce qui concerne la fiabilité opérationnelle et la disponibilité du parc nucléaire existant, le démantèlement sûr des centrales nucléaires, que la capacité à délivrer d’éventuels nouveaux réacteurs, afin de maîtriser les coûts et les délais

• G - La réduction des besoins d’importation notamment en uranium (ex. au travers du recyclage des déchets nucléaires pouvant l’être) quitte à augmenter le prix de l’électricité produite

• I - Le maintien d’une politique de R&D visant à développer de nouvelles technologies de réacteurs

La durée des réserves d'uranium mondiale est aujourd'hui estimée à un peu moins de 100 ans sur la base de la consommation actuelle avec des réacteurs de 2ème génération... Il est donc indispensable de développer de nouvelles technologies de réacteurs (surgénérateurs, réacteurs à neutrons rapides, réacteurs au thorium) afin de pérenniser les ressources naturels disponibles et de diminuer notre dépendance aux importations de minerais. D'autre part, l'état français devrait faire preuve de beaucoup plus de transparence concernant le coût réel du kwh nucléaire pour le contribuable français en prenant en compte toute la chaine de production (extraction, enrichissement, réacteurs, gestion des déchets, démantèlement, intérêts de la dette, ...) Egalement les effets thermiques sur nos rivière avec le refroidissement des réacteurs.