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Publié le 28/12/2022 - 17h14

llemercier

  • C - La résilience au changement climatique

  • G - La réduction des besoins d’importation notamment en uranium (ex. au travers du recyclage des déchets nucléaires pouvant l’être) quitte à augmenter le prix de l’électricité produite

  • H - Le maintien de filières de gestion des déchets nucléaires sûres et dimensionnées de manière adéquate pour assurer la prise en charge définitive de tous les déchets nucléaires occasionnés par la production d’électricité

La priorité sur le court terme reste de développer les énergies renouvelables, rapides et peu coûteuses à mettre en place. L'EPR de Flamanville, qui prend 12 ans de retard et un budget multiplié par 6 prouve bien qu'il n'est pas viable de ne compter que sur un plan de relance du nucléaire. La principale priorité est celle des risques liés aux déchets radioactifs et au démantèlement des centrales arrêtées (et ce entièrement ! à quel coût ?). Si la filière nucléaire venait à être relancée en France, elle devrait se faire de manière exemplaire, en commençant par la gestion de ses déchets et son démantèlement pour permettre d'éventuelles nouvelles constructions et une exploitation qui soit au long terme plus sécuritaire et locale (réduction des besoins d'importation).