Publié le 28/12/2022 - 22h23
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique
Les accords electoraux court-termistes doivent cesser. La réalité physique doit l'emporter sur des dogmes non argumentés ou fallacieux. Les prochaines installations électriques doivent assurer la fourniture d'une électricité en quantité et de manière continue. Les installations doivent être condensées (vrai pour le nucléaire, les ENRI, les biogaz...) au maximum pour mieux maitriser les installations et mutualiser les couts et les impacts environnementaux. Une dispersion des installations rendrait les installations anarchiques et les contrôles des DREAL impossibles. Pour cela le nucléaire est impératif à court et moyen terme. Le 100% renouvelable est une utopie si nous voulons garder un niveau de vie confortable. Les systèmes de stockage (outre le l'hydraulique) ne pourront industriellement pas permettre une intermittence des ENR.
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