Publié le 29/10/2022 - 18h59

• B - Son impact en termes d’occupation des sols

• E - Son impact financier national afin de conserver un prix de l’électricité compétitif pour les consommateurs

Le photovoltaïque est effectivement plus gourmand en surface que l'éolien ou le nucléaire et il faut décider de ce qui peut lui être consacré. J'éviterai de l'installer dans les plaines fertiles pour lui réserver des sols plus pauvres. On peut, dans une certaine mesure, cumuler culture et photovoltaïque à condition que ce ne soit pas seulement un prétexte à une double subvention. La redistribution des bénéfices aux acteurs locaux me semble moins nécessaire que pour le nucléaire ou l'éolien car les contraintes esthétiques et environnementales sont moins importantes.