Publié le 29/12/2022 - 12h10
-
A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
-
D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Il faut à la fois une autonomie énergétique pour dépendre le moins possible de l'externe (enjeux géopolitiques), et un mix de solutions (ENR mais aussi nucléaire) pour viser une électricité compétitive pour notre industrie notamment. Le 100% ENR (PV / Eolien) n'est pas souhaitable pour la biodiversité (en déclin) et l'artificialisation des sols notamment.
Partager la page
Soutiens