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Publié le 29/12/2022 - 17h58

alexis.carlotti@gmail.com

  • A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

  • B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique

Je procède par élimination : - le choix C suppose l'utilisation massive voire exclusive des ENR diffus. Ceci imposerait une rareté de la production, ou rendrait au minimum difficile l'existence d'un plancher de production garanti, sauf à envisager la mise en place d'un parc ENR autrement plus ambitieux que ceux mis en place même par nos voisins les plus zélés. Pas réaliste pour moi. - le choix D présuppose que nous pourrions être autonomes en composants et en technologie. Notre territoire ne possède je ne crois pas les ressources nécessaires. Hormis envisager la conquête de nouveaux territoires (hahahaha), une dépendance partielle me parait acceptable (ce qui soulève d'autres questions !) - le choix E n'est pas à exclure, mais je n'ai pas la vision nécessaire pour estimer finement la dépendance du coût associé à différents mix, et son évolution dans le temps. Les différences de coût ne me paraissent néanmoins pas suffisamment importantes d'un mix à l'autre pour considérer ce point comme essentiel.