Publié le 30/10/2022 - 15h08

• B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique

• D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

Ce qui est essentiel, c'est de sortir de l'usage massif du pétrole et du charbon et plus rapidement possible, avec un cout acceptable pour l'industrie et les citoyen. Cela passe par l'usage du gaz dès lors que c'est le meilleur compromis technico-économique pour replacer le pétrole ou le charbon, et par l'électrification des autres usages lorsque là aussi c'est le meilleur compromis technico-économique. Ceci pour permettre la réindustrialisation du pays et la limitation de l'augmentation des prix de l'énergie. Pour la production d'électricité, une partie par le gaz (stockable) comme aujourd'hui, et le reste dans un mix ENR (Barrages hydro à développer, + solaire sur les toits de batiments sans nouvelle empreinte sur la nature + éolien), et un part importante pour la production nucléaire non émettrice de CO2, très faible implantation au sol et production pilotable)