Publié le 30/10/2022 - 17h55
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique
Dans le mixte énergétique nous devons avoir les renouvelables plus une extension du parc nucléaire, les statistique indiquent qu'il faut 60% d'électricité en plus dans les qq décennies à venir. L'éolien ou le solaire ne suffiront pas, pour leur construction il faudra au moins dix fois plus de métaux que pour les centrales nucléaire, production aléatoire (vent ou soleil). Le coût du MWH du prototype EPR annoncé proche de l'éolien va certainement diminué. Il y a urgence à rendre les équipes de cette industrie compétentes, ne pas les abandonner comme cela a été fait pendant les trois derniers mandats, mauvaise stratégie , a revoir. Dans le monde 30% de pétrole, 20 % de charbon at 20 % de gaz c'est trop pour le CO2, pour la France c'est ce mixte énergétique qu'il nous faut et sortons des accords EU pour retrouver des prix compétitifs.
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