Publié le 30/12/2022 - 10h00

• B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

B - Si les passoires thermiques sont rénovées, la généralisation des moyens de pilotage du chauffage et autres équipements doivent permettre une réduction des consommations sans perte de confort, transparente pour le consommateur et avec un impact bénéfique sur ses dépenses. Une diminution supplémentaire de la température moyenne peut être difficile à atteindre sur la totalité du parc de logements avec le vieillissement de la population, le développement du télétravail... réduisant le potentiel d'ajustement à la baisse de la température en cas d'absence.