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Publié le 30/12/2022 - 14h42

LADSOUS

  • B - Son impact en termes d’occupation des sols

  • E - Son impact financier national afin de conserver un prix de l’électricité compétitif pour les consommateurs

Tant que le potentiel de 49 GW de friches industrielles et délaissés routiers ou ferroviaires, autrement dit des sols déjà artificialisés, recensé par l’Ademe en 2019 n’a pas été totalement exploité y compris les « petites friches » et « petits délaissés », il ne faut pas affecter des sols agricoles, pastoraux ou forestiers à du photovoltaïque au sol Il est choquant que l'ADEME dont c'est la mission n'exige pas cela, il faut donc qu'elle cesse de faire preuve de complaisance envers la filière solaire, qui ne relève pas d'un intérêt général aussi élevé que celui de la protection de l'environnement. Le solaire est acceptable sur des sols déjà artificialisés et non renaturalisables, mais aussi sur les parkings (ombrières) ou sur les toitures dans le respect des règles d’urbanisme. Le photovoltaïque - même le maga-PV au sol - n’est pas compétitif si l'on prend en compte les coûts de raccordement et renforcement des réseaux et si l'on prend en compte les coûts Système comme le prouvent des études indépendantes https://cereme.fr/wp-content/uploads/2022/07/C-12-Comparaison-des-couts…