Publié le 30/12/2022 - 14h43
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B - Des projets de petites tailles, spécifiquement sur les toitures et chez les particuliers, avec l’impact patrimonial qui accompagne ce choix
Tant que le potentiel de 49 GW de friches industrielles et délaissés routiers ou ferroviaires, autrement dit des sols déjà artificialisés, recensé par l’Ademe en 2019 n’a pas été totalement exploité y compris les « petites friches » et « petits délaissés », il ne faut pas affecter des sols agricoles, pastoraux ou forestiers à du photovoltaïque au sol. Le solaire est acceptable sur des sols déjà artificialisés et non renaturalisables, mais aussi sur les parkings (ombrières) ou sur les toitures dans le respect des règles d’urbanisme.
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