Publié le 30/12/2022 - 22h26

• D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)

L'un des deux principaux frein, c'est que l'imaginaire collectif de la réussite sociale, du confort, du bonheur, date d'une époque révolue. Si les gens traînent des pieds pour ne plus se déplacer seul à 90 km/h dans 20 fois leurs poids en métal, c'est avant tout par soucis de leur confort. Lorsqu'ils auront réaliser ce que ce confort ce soir coûtera à leurs enfants demain matin, peut-être qu'il ne dormiront pas de la nuit, mais une fois le deuil du rêve des 30 glorieuses fait, au moins on pourra avancer dans la bonne direction, celle du combat collectif pour un avenir vivable. Car l'action est la seule façon de ne pas déprimer/capituler face à cet avenir. Le second, c'est la dépendance du financement des états sur les marchés financiers, et le pouvoir de ceux-ci sur les décision prises par les Etats et la Commission Européenne. Un bon commencement, serait de réfléchir à comment émettre des francs comme monnaie locale en France. Par exemple, création de francs en augmentant le salaire des fonctionnaires, et destruction en payant l'impôt (directs et indirects). Il doit y avoir moyen de fluidifier les échanges économiques grâce à cette monnaie locale, sans inflation ni diminution des recettes fiscales en euro. Cette monnaie locale pourrait être 100% scripturale, non transformable en monnaie fiduciaire, et la gestion des paiements euro/franc serait automatiquement (par exemple priorité aux euro et thésaurisation des francs, ou balance 80%/20%, ... à déterminer pour que les recettes fiscales en euro ne décroissent pas).