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Publié le 31/10/2022 - 16h36

Lfulch

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

Notre dépendance aux énergies fossiles non seulement détruit notre planète mais nous met une épée de Damoclès au dessus de la tête pour nos relations diplomatiques. Les aides aux carburants et fioul sont immensément plus couteuse que la rénovation des bâtiments qui aurait pourtant un effet beaucoup plus massif sur la consommation d'énergie fossile. Un investissement massif et intelligent doit être mis en place ( priorité de rénovation sur les passoires, dans les régions les plus froides et dans les bâtiments ou il n'est pas possible de réduire la température tels que les EPHAD, les hôpitaux et les écoles), afin d'avoir un effet maximal sur le plus court terme possible. Les efforts doivent être distribués aussi économiquement/socialement avec les foyers modeste en priorités car ils sont/seront les plus démunis à l'augmentation des prix de l'énergie. un prix progressif de l'énergie est enfin INDISPENSABLE, les kWhs pour chauffer son logement à 19et faire tourner son frigo ne doivent pas couter le même prix que ceux pour chauffer à 25° ou pour avoir un Sauna.