Publié le 31/10/2022 - 19h48

• B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

Le B mais avec une adaptation aux usages réels, par soucis de justice. En effet, comme pour les autres domaines d'émission, je pense que l'on peut faire baisser la moyenne sans demander le même effort à tous. Ainsi (et je suis forcément dans l'excès par soucis d'illustration), ceux qui chauffent à 22°C leur appartement individuel de 200 m2 doivent revenir à une utilisation raisonnée de leurs besoins d'habitation (ils ont a priori le choix) pour permettre à ceux qui chauffent déjà leur appartement comme ils peuvent de ne pas subir plus de précarité. Dans la même idée, responsabiliser les copropriétaires par utilisation de compteurs (eau et elec) différencié par appartement. On peut surement rester sur du B aussi grace aux travaux d'isolation, autosuffisance énergétique des bâtiments, limitation des appareils.