Energie
Thème 1 : Comment adapter notre consommation pour atteindre l’objectif de neutralité carbone ?
1.3 - Le niveau d'activité industrielle et du transport de marchandises
Le niveau de l’activité industrielle au niveau national le niveau de transport de marchandises, tant au niveau national qu’au niveau international, dépendent fortement de notre consommation de biens. Ils peuvent impacter tant notre consommation d’énergie, mais également entraîner des émissions indirectes pour la production des biens que nous importons.
Quel modèle de consommation de biens, mais aussi d’activité industrielle, jugez-vous le plus adapté aux défis auxquels fait face la France (1 réponse au choix) ?
- Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.
- Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés.
- Une baisse significative de l’activité industrielle nationale, et donc des besoins énergétiques associés. Les besoins seraient toutefois comblés par une augmentation du commerce extérieur et du fret national, conduisant à une augmentation des émissions importées.
- Autre proposition

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Publié le 08/11/2022 - 08h41
Emma
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Des efforts de réindustrialisation ciblés sur les biens dits de nécessité, conjointement à une réduction du commerce extérieur et une réduction de la production nationale sur les secteurs non-essentiels. Il y a en effet des types de consommation de masse qu'il faudrait limiter (textiles par exemple) et il serait efficace de prendre la problématique du côté de l'Offre plutôt que de faire peser sur les consommateurs la responsabilité d'une sur-production. Cependant, la production est aussi la colonne vertébrale d'une indépendance, voire souveraineté économique, nationale. Il faudrait pouvoir orienter les efforts des entreprises vers les productions essentielles ; une problématique complexe dans une situation de libre marché où, à l'échelle globale, la priorité par définition des entreprises est avant tout leur rentabilité. L'introduction de taxes, sanctionnant la pollution émise par un process de production ou encore le coût de retraitement du déchet émis une fois que le bien produit ait été consommé, peut être un moyen mécaniquement de rendre moins attractifs (rentables) les production non-essentielles. Il reste à déterminer quelles productions seront considérées comme essentielles, et donc exemptes de taxations supplémentaires voir objets d'incitations. Il y a aussi une question sociale et de redistribution à traiter ; la baisse de production dans certain secteur, très dépendant d'une consommation de masse pour assurer leur rentabilité, risque d'entraîner des restructurations et des faillites d'entreprises.
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Publié le 08/11/2022 - 07h36
caro38
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A - Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.
Tout est lié : consommation = énergie de production, énergie de logistique , déchets de production donc incinération donc énergie , pollution ,déchet de fin de vie donc énergie …. Il faut stopper tout superflu : vêtement / mode, changement de smart phone tous les ans ( pour ma part c’est mon outil de travail que j achete d’occasion tous les 3 ou 4 ans …), il faut donc empêcher et stopper la course à la consommation , stopper le discours du pouvoir d’achat ( achat d’objets inutiles ) qui est mortifère pour le climat et plus largement l’écologie
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Publié le 08/11/2022 - 07h34
clair-obscur
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Utiliser à bien les moyens de transport des marchandises. Le train pourrait être optimiser et les camions surtaxé
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Publié le 07/11/2022 - 22h46
John
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
Arrêter d'importer des objets de l'autre côté de la terre (nourriture y compris). Avec une réinitialisation du pays, ça peut être le moyen de développer des équipements facilement réparables et durables tout en travaillant sur miniser l'impact environnemental. Il faut arrêter de surconsommer et interdire tous les équipements jetables.
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Publié le 07/11/2022 - 21h16
CIGOGNE
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A - Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.
Les ressources étant limitées, il est nécessaire de réduire nos besoins de consommation.
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Publié le 07/11/2022 - 21h00
Vala
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
Consommer moins, consommer mieux et consommer local.
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Publié le 07/11/2022 - 18h42
Andrea
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
Il faut assumer nos externalites envers la planète : produire le plus possible chez nous avec des matières premières de chez nous afin de maîtriser les conditions tant sociales qu'ecologiques de production. Par ailleurs il faut consommer moins et mieux.
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Publié le 07/11/2022 - 17h34
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
Consommation locale, stop aux accords de libres échanges avec de lointains pays.
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Publié le 07/11/2022 - 17h27
Estelle M
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A - Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.
la consommation individuelle de biens doit diminuer. A t on vraiment besoin de 3 manteaux, 10 paires de chaussures, 5 sacs à main ? Ne pas intégrer dans notre bilan énergétique, la consommation énergétique de nos principaux fournisseurs (Chine, Vietnam pour les vêtements) est assez hypocrite, et surtout une erreur d'appréciation : car nous impactons à la fois à travers notre production nationale comme à travers la consommation de productions étrangères (qui viennent en bateaux polluants). La réindustrialisation en France est une première réponse car : - elle permet de limiter l'impact du transport en réduisant les km - elle permet d'imposer nos normes environnementales (ce qui n'est pas le cas à l'autre bout du monde) donc de mieux "maitriser" notre empreinte énergétique
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Publié le 07/11/2022 - 17h11
jadiss
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
La réindustrialisation des pays fortement consommateurs/importateurs comme la France à plusieurs vertus : - rendre visible les nuisances de sa consommation (impact environnemental, cadre de vie...) aujourd'hui une contradiction (notamment chez certains ecolos) existe dans notre pays ou on veut tout sans les nuisances. Un espèce de NIMBY national. Sans compter qu'on externalise les nuisances (pays pauvres, moins disant environnemental) en continuant à profiter d'un haut niveau de services/produits.
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