Energie
Thème 1 : Comment adapter notre consommation pour atteindre l’objectif de neutralité carbone ?
1.4 - Le décalage des consommations
Pour passer des pics de consommation, certains comportements individuels permettent le décalage de certains usages et consommations associées (par exemple report d’un déplacement, décalage de l’utilisation de certains produits ménagers ou éco-gestes lors de l’activation du signal EcoWatt rouge de RTE).
Au-delà du niveau global de consommation, êtes-vous prêt à décaler vos consommations pour limiter les pics de consommations (1 réponse au choix) ?
- Oui, et ce quel que soit l’usage
- Oui, à condition d’être rétribué financièrement
- Oui, mais cela dépend des types d’usages
- Non
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Publié le 05/01/2023 - 14h58
THEBAULT Nicolas
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A - Oui, et ce quel que soit l’usage
C'est indéniable que nous aurons tous à faire des efforts sur notre consommation et le moment où elle a lieu. Mais encore une fois tout le monde ne doit pas (ne peut pas) faire le même effort. Il faut que cela réponde à des enjeux de justice sociales pour que ces efforts soient compris de tous. Comment peut-on demander à une famille vivant sous le seuil de pauvreté dans un logement insalubre de baisser son chauffage au fioul quand celui-ci est déjà baissé ! De plus, nous avons d'autres leviers pour baisser cette consommation : sur l'usage de nos équipements. Par exemple, chaque foyer a aujourd'hui un lave-linge ou une machine à laver. En ville, il serait envisageable, notamment dans les immeubles, de réintroduire l'idée de buanderie collective où le taux d'utilisation de chaque appareil serait beaucoup plus important ! De plus, dans cette pièce la facture serait répartie entre chaque utilisateur incitant chacun à ne pas faire peser sa propre consommation sur la facture collective et à chacun également de faire remarquer à ceux qui ne respectent pas les règles collectives de le faire. C'est un peu la même idée que le covoiturage !
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Publié le 05/01/2023 - 14h18
Isa belle
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C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)
Il faut soutenir l’engagement de l’ensemble de la société vers la neutralité carbone dans un esprit de transition juste afin de réussir les défis de la lutte contre le réchauffement climatique. La politique énergétique doit donc être pragmatique, guidée par la réduction de l’empreinte carbone, et socialement juste, en reposant d’une part sur des économies d’énergie guidées par l’efficacité bas carbone, et l’engagement de la société vers une sobriété bas carbone pilotée, anticipée et à coûts maîtrisés, et vers des modes de vie collectifs plus économes en énergie et en ressources, et d’autre part sur une décarbonation qui ferme la porte aux énergies les plus carbonées et qui s'appuie sur les atouts et la complémentarité des industries électriques et gazières, via le développement de l’électrification bas carbone et la mobilisation des atouts d’une filière gaz à faible empreinte carbone, et enfin le progrès scientifique et technique assis sur un investissement massif dans la recherche et l’innovation, pour lequel il faut une meilleure coordination entre politique industrielle, politique énergie-climat, politique de la recherche et de l’innovation, enseignement et développement technologique.
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Publié le 05/01/2023 - 14h08
cham
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A - Oui, et ce quel que soit l’usage
Il me semble qu'il serait temps d'habituer les consommateur à l'intermittence, et au fait que l'électricité peut être quasi gratuite à certains moments de la journée, et très chère à d'autres. Il y aurait des mesures très simples à prendre. Par exemple, demander aux fournisseurs de proposer des contrats (éventuellement moins chers) incluant la possibilité d'abaisser la puissance maximale disponible lors des périodes de demande trop élevée, ou lorsque la production électrique est trop carbonée. En maintenant une quantité minimale suffisante pour les besoins vitaux (chauffage notamment, par ex 1500VA si vous ne vous chauffez pas à l'électricité et 3-4000 sinon). En contrepartie, l'énergie fournie lorsque la production est élevée pourrait être moins chère, ce qui inciterait les consommateurs à décaler. Il me semble qu'on a de plus en plus d'outils simples qui permettraient de mettre en place ce genre de fonctionnement, et ainsi habituer les consommateurs à s'adapter à la production plutôt que l'inverse. Cela abaisserait grandement le cout global de l'énergie et son bilan carbone, en rendant moins importante la gestion de l'intermittence par les producteurs et les fournisseurs. En plus c'est facile et peut être mis en place demain pour ceux qui ont un compteur linky...
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Publié le 05/01/2023 - 13h45
leomon32
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C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)
Je ne comprend pas exactement le sujet, je ne vois pas comment on peut décaler en cas par exemple d'un pic de froid. Il faut que l'état lui fasse quelque chose de productif. Couper l'électricité des plus pauvre n'est pas une solution. Pour la nourriture oui c'est possible et pour les heures creuses également.
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Publié le 05/01/2023 - 13h28
Guillaume T
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C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)
Il faut soutenir l’engagement de l’ensemble de la société vers la neutralité carbone dans un esprit de transition juste afin de réussir les défis de la lutte contre le réchauffement climatique. La politique énergétique doit donc être pragmatique, guidée par la réduction de l’empreinte carbone, et socialement juste, en reposant d’une part sur des économies d’énergie guidées par l’efficacité bas carbone, et l’engagement de la société vers une sobriété bas carbone pilotée, anticipée et à coûts maîtrisés, et vers des modes de vie collectifs plus économes en énergie et en ressources, et d’autre part sur une décarbonation qui ferme la porte aux énergies les plus carbonées et qui s'appuie sur les atouts et la complémentarité des industries électriques et gazières, via le développement de l’électrification bas carbone et la mobilisation des atouts d’une filière gaz à faible empreinte carbone, et enfin le progrès scientifique et technique assis sur un investissement massif dans la recherche et l’innovation, pour lequel il faut une meilleure coordination entre politique industrielle, politique énergie-climat, politique de la recherche et de l’innovation, enseignement et développement technologique.
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Publié le 05/01/2023 - 12h29
Bruno ROUGIER
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A - Oui, et ce quel que soit l’usage
Pour le bien de tous et afin de ne pas compromettre le fonctionnement des services nécessaires à la nation.
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Publié le 05/01/2023 - 11h52
AnneW
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A - Oui, et ce quel que soit l’usage
Nous n'avons pas le choix ! Sinon nous serons soumis à des coupures. C'est du bon sens.
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Publié le 05/01/2023 - 11h31
plr
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A - Oui, et ce quel que soit l’usage
Dans le mesure du possible, oui.
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Publié le 05/01/2023 - 11h13
Serge De Sanguinet
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C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)
Il faut soutenir l’engagement de l’ensemble de la société vers la neutralité carbone dans un esprit de transition juste afin de réussir les défis de la lutte contre le réchauffement climatique. La politique énergétique doit donc être pragmatique, guidée par la réduction de l’empreinte carbone, et socialement juste, en reposant d’une part sur des économies d’énergie guidées par l’efficacité bas carbone, et l’engagement de la société vers une sobriété bas carbone pilotée, anticipée et à coûts maîtrisés, et vers des modes de vie collectifs plus économes en énergie et en ressources, et d’autre part sur une décarbonation qui ferme la porte aux énergies les plus carbonées et qui s'appuie sur les atouts et la complémentarité des industries électriques et gazières, via le développement de l’électrification bas carbone et la mobilisation des atouts d’une filière gaz à faible empreinte carbone, et enfin le progrès scientifique et technique assis sur un investissement massif dans la recherche et l’innovation, pour lequel il faut une meilleure coordination entre politique industrielle, politique énergie-climat, politique de la recherche et de l’innovation, enseignement et développement technologique.
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