Energie
Thème 1 : Comment adapter notre consommation pour atteindre l’objectif de neutralité carbone ?
1.4 - Le décalage des consommations
Pour passer des pics de consommation, certains comportements individuels permettent le décalage de certains usages et consommations associées (par exemple report d’un déplacement, décalage de l’utilisation de certains produits ménagers ou éco-gestes lors de l’activation du signal EcoWatt rouge de RTE).
Au-delà du niveau global de consommation, êtes-vous prêt à décaler vos consommations pour limiter les pics de consommations (1 réponse au choix) ?
- Oui, et ce quel que soit l’usage
- Oui, à condition d’être rétribué financièrement
- Oui, mais cela dépend des types d’usages
- Non

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Publié le 04/01/2023 - 15h39
coco
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C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)
aux gros consommateurs d'energie de le faire
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Publié le 04/01/2023 - 15h33
Isa
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A - Oui, et ce quel que soit l’usage
Pratiquement toutes les activités peuvent souvent être décalées.
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Publié le 04/01/2023 - 15h29
Melimelo
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C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)
Certains usages doivent être "sacralisés" pour ne pas subir d'imposition de décalage (ex: usages liés aux urgences vitales,....). Toutefois, la liste d'usage "sacralisés" doit être la plus limitée possible. Une incitation financière permettrait de créer le changement de mentalité : contrat de fourniture d'électricité avec coûts du kWh variables en fonction du niveau de charge du réseau prévu (nécessite des prévisions suffisamment à l'avance pour permettre l'adaptation).
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Publié le 04/01/2023 - 15h20
SLYBIBI
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C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)
Il faut soutenir l’engagement de l’ensemble de la société vers la neutralité carbone dans un esprit de transition juste afin de réussir les défis de la lutte contre le réchauffement climatique. La politique énergétique doit donc être pragmatique, guidée par la réduction de l’empreinte carbone, et socialement juste, en reposant d’une part sur des économies d’énergie guidées par l’efficacité bas carbone, et l’engagement de la société vers une sobriété bas carbone pilotée, anticipée et à coûts maîtrisés, et vers des modes de vie collectifs plus économes en énergie et en ressources, et d’autre part sur une décarbonation qui ferme la porte aux énergies les plus carbonées et qui s'appuie sur les atouts et la complémentarité des industries électriques et gazières, via le développement de l’électrification bas carbone et la mobilisation des atouts d’une filière gaz à faible empreinte carbone, et enfin le progrès scientifique et technique assis sur un investissement massif dans la recherche et l’innovation, pour lequel il faut une meilleure coordination entre politique industrielle, politique énergie-climat, politique de la recherche et de l’innovation, enseignement et développement technologique.
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Publié le 04/01/2023 - 15h17
Franck Girard
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B - Oui, à condition d’être rétribué financièrement
et s'il s'agit d'un effort personnel qui est demandé, cela me semble logique d'obtenir une reconnaissance qui serait concomitamment incitative vers les bonnes pratiques
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Publié le 04/01/2023 - 15h13
sdesrentes
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A - Oui, et ce quel que soit l’usage
Oui mais il faut que cela soit juste et que l'ensemble de la population participe, c'est la société toute entière qui doit apporter sa contribution à la decarbonnation générale
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Publié le 04/01/2023 - 14h51
ABarlet
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C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)
Il faut soutenir l’engagement de l’ensemble de la société vers la neutralité carbone dans un esprit de transition juste afin de réussir les défis de la lutte contre le réchauffement climatique. La politique énergétique doit donc être pragmatique, guidée par la réduction de l’empreinte carbone, et socialement juste, en reposant d’une part sur des économies d’énergie guidées par l’efficacité bas carbone, et l’engagement de la société vers une sobriété bas carbone pilotée, anticipée et à coûts maîtrisés, et vers des modes de vie collectifs plus économes en énergie et en ressources, et d’autre part sur une décarbonation qui ferme la porte aux énergies les plus carbonées et qui s'appuie sur les atouts et la complémentarité des industries électriques et gazières, via le développement de l’électrification bas carbone et la mobilisation des atouts d’une filière gaz à faible empreinte carbone, et enfin le progrès scientifique et technique assis sur un investissement massif dans la recherche et l’innovation, pour lequel il faut une meilleure coordination entre politique industrielle, politique énergie-climat, politique de la recherche et de l’innovation, enseignement et développement technologique.
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Publié le 04/01/2023 - 14h32
MORO
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A - Oui, et ce quel que soit l’usage
Il faut augmenter la flexibilité du réseau dont les consommations. On ne peut plus compter sur l'énergie infinie si on veut préserver le climat et la biodiversité.
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Publié le 04/01/2023 - 14h10
POUSSIER
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C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)
la réalisation des repas est difficilement décalable car incompatible avec la vie sociale. Pour tout le reste, aucun soucis pour décaler
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