Energie

Thème 1 : Comment adapter notre consommation pour atteindre l’objectif de neutralité carbone ?

1.4 - Le décalage des consommations

Pour passer des pics de consommation, certains comportements individuels permettent le décalage de certains usages et consommations associées (par exemple report d’un déplacement, décalage de l’utilisation de certains produits ménagers ou éco-gestes lors de l’activation du signal EcoWatt rouge de RTE).

Au-delà du niveau global de consommation, êtes-vous prêt à décaler vos consommations pour limiter les pics de consommations (1 réponse au choix) ?

  • Oui, et ce quel que soit l’usage
  • Oui, à condition d’être rétribué financièrement
  • Oui, mais cela dépend des types d’usages
  • Non

  • Publié le 28/12/2022 - 20h00

    Mhimmelfarb

    • A - Oui, et ce quel que soit l’usage

    Éditer un dépliant concernant les choix les plus stratégiques en terme d' utilisation de nos appareils électroménager, de leur horaires de chargement, et encourager l' autonomie en terme de ressources énergétique ( ex panneaux solaires, mini éoliennes)

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  • Publié le 28/12/2022 - 19h07

    bdelanau

    • B - Oui, à condition d’être rétribué financièrement

    A ce propos, le déploiement en masse du V2G (votre voiture électrique injecte de l'électricité sur le réseau) est une solution pour soulager le réseau lorsque la production peine à couvrir la consommation.

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  • Publié le 28/12/2022 - 18h43

    Acer

    • A - Oui, et ce quel que soit l’usage

    Les pics de consommation sont dus essentiellement au déploiement inconsidéré dans les locaux mal isolés du chauffage électrique. Tous ces appareils devraient être sans délai remplacer par des systémes de chauffage performants

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  • Publié le 28/12/2022 - 18h07

    domi65

    • B - Oui, à condition d’être rétribué financièrement

    Ni plus ni moins que ce qui existe dèjà! A savoir la possibilité de disposer de tarifs Heures Pleines et Heures Creuses, incitant les consommateurs à reporter leur consommation vers un créneau de basse consommation.

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  • Publié le 28/12/2022 - 17h50

    jm.agnel@orange.fr

    • B - Oui, à condition d’être rétribué financièrement

    En fait, l'idée est d'être rétribué collectivement. A partir du moment, où nos comportements favorisent l'industrie quel que soit le domaine, les gains obtenus, doivent profiter au collectif sous la forme de prix contenus, d'investissements d'amélioration et d'efficacité. Et la somme de ces efforts collectifs doivent être mesurables, et transparents.

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  • Publié le 28/12/2022 - 17h15

    Colombe

    • C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)

    Il faut soutenir l’engagement de l’ensemble de la société vers la neutralité carbone dans un esprit de transition juste afin de réussir les défis de la lutte contre le réchauffement climatique. La politique énergétique doit donc être pragmatique, guidée par la réduction de l’empreinte carbone, et socialement juste, en reposant d’une part sur des économies d’énergie guidées par l’efficacité bas carbone, et l’engagement de la société vers une sobriété bas carbone pilotée, anticipée et à coûts maîtrisés, et vers des modes de vie collectifs plus économes en énergie et en ressources, et d’autre part sur une décarbonation qui ferme la porte aux énergies les plus carbonées et qui s'appuie sur les atouts et la complémentarité des industries électriques et gazières, via le développement de l’électrification bas carbone et la mobilisation des atouts d’une filière gaz à faible empreinte carbone, et enfin le progrès scientifique et technique assis sur un investissement massif dans la recherche et l’innovation, pour lequel il faut une meilleure coordination entre politique industrielle, politique énergie-climat, politique de la recherche et de l’innovation, enseignement et développement technologique.

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  • Publié le 28/12/2022 - 17h09

    mathilde3434

    • C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)

    On peut décaler machines à laver et lave-vaisselle, évidemment (je n'ai pas attendu cet hiver pour le faire, et je suis effarée que ce soit une découverte pour certains)! Pour le four c'est plus compliqué (non M. Véran, je n'allumerai pas le four à 20h plutôt qu'à 19h, tout simplement parce qu'avec les enfants je mange à 19h30, j'imagine qu'on est beaucoup dans ce cas, réfléchissez un peu avant de parler...). La clé pour effacer les pics, ce sont les smart grid, et la régulation de la charge des batteries de voiture. Moyennant baisse du prix de l’électricité pour les volontaires, pourquoi ne pas laisser en charge en permanence les voitures quand elles ne roulent pas? On puise dedans quand la conso est forte, on recharge quand la conso est faible.

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  • Publié le 28/12/2022 - 16h53

    llemercier

    • A - Oui, et ce quel que soit l’usage

    Oui. Une rétribution financière serait appréciée, d'autant qu'elle serait faisable avec les compteurs linky installés dans beaucoup de foyers français. Néanmoins, il me semble normal que chacun fasse l'effort de baisser ses consommations, même sans compensation financière et quel que soit l'usage. Des gestes simples permettent d'y arriver et on voit déjà de nettes améliorations sur l'hiver 2022 ; preuve que cela est réalisable.

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  • Publié le 28/12/2022 - 16h31

    Aguirre

    • A - Oui, et ce quel que soit l’usage

    L'énergie disponible en permanence et pas cher, c'est le passé. Un autre solution serait aussi de limiter la consommation de tous les ménages à 3 kW pendant les pics. Enfin, au-delà d'un seuil de consommation par personne, facturer des prix très élevés, cela limitera immédiatement la consommation des moins vertueux.

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  • Publié le 28/12/2022 - 16h27

    AYV

    • C - Oui, mais cela dépend des types d’usages (à préciser dans le champ libre ci-après)

    Il faut soutenir l’engagement de l’ensemble de la société vers la neutralité carbone dans un esprit de transition juste afin de réussir les défis de la lutte contre le réchauffement climatique. La politique énergétique doit donc être pragmatique, guidée par la réduction de l’empreinte carbone, et socialement juste, en reposant d’une part sur des économies d’énergie guidées par l’efficacité bas carbone, et l’engagement de la société vers une sobriété bas carbone pilotée, anticipée et à coûts maîtrisés, et vers des modes de vie collectifs plus économes en énergie et en ressources, et d’autre part sur une décarbonation qui ferme la porte aux énergies les plus carbonées et qui s'appuie sur les atouts et la complémentarité des industries électriques et gazières, via le développement de l’électrification bas carbone et la mobilisation des atouts d’une filière gaz à faible empreinte carbone, et enfin le progrès scientifique et technique assis sur un investissement massif dans la recherche et l’innovation, pour lequel il faut une meilleure coordination entre politique industrielle, politique énergie-climat, politique de la recherche et de l’innovation, enseignement et développement technologique.

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