Energie
Thème 2 : Comment satisfaire nos besoins en électricité, et plus largement en énergie, tout en assurant la sortie de notre dépendance aux énergies fossiles ?
2.7 - Le développement de l'hydroélectricité
Si la filière hydroélectrique occupe historiquement une place essentielle dans le système électrique français, il apparaît pour autant difficile d’envisager une augmentation significative des capacités de production car son potentiel est déjà largement exploité et les projets les plus importants présentent des impacts forts sur l’environnement.
Pour répondre aux évolutions du système électrique, il sera nécessaire de développer des installations permettant le stockage d’électricité : les stations de transfert d’énergie par pompage (STEP). RTE estime ces possibilités de développement à 3 GW en plus des 6 GW actuellement installés.
En plus des installations de production et de stockage hydrauliques existantes, faut-il selon vous (1 réponse au choix) ?
- Se limiter à optimiser l’existant, car il n’apparaît pas opportun de développer de nouveaux projets;
- Optimiser l’existant et, concernant de nouveaux sites, aménager uniquement ceux dont le potentiel est significatif ou ceux présentant une sensibilité environnementale quasi-nulle ;
- Développer tous les projets hydroélectriques, y compris les très petites installations pour maximiser les capacités installées, et y compris les projets plus coûteux, tout en essayant de limiter les impacts environnementaux

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Publié le 21/12/2022 - 19h12
samuelnihoul@gmail.com
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A - Se limiter à optimiser l’existant, car il n’apparaît pas opportun de développer de nouveaux projets
Le contexte donné par concertation-strategie-energie-climat.gouv.fr nous dit que le potentiel est déjà largement exploité. Concentrons-nous sur le solaire et l'éolien ainsi que sur le stockage et le transfert (longue distance ou depuis l'espace) d'énergie.
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Publié le 21/12/2022 - 19h03
chfils1@hotmail.fr
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B - Optimiser l’existant et, concernant de nouveaux sites, aménager uniquement ceux dont le potentiel est significatif ou ceux présentant une sensibilité environnementale quasi-nulle
Equilibre délicat à trouver. Optimiser au maximum le stockage d'eau en barrages exitants, transformer certaines installations si possibles en STEP ou création limitée de quelques STEP
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Publié le 21/12/2022 - 16h43
robert-gabriel.garnier@laposte.net
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A - Se limiter à optimiser l’existant, car il n’apparaît pas opportun de développer de nouveaux projets
Plus de zones à développer en France
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Publié le 21/12/2022 - 16h14
Pierre C
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C - Développer tous les projets hydroélectriques, y compris les très petites installations pour maximiser les capacités installées, et y compris les projets plus coûteux, tout en essayant de limiter les impacts environnementaux
Je suis écologiste, mais j'estime possible de restaurer une production d'énergie électrique sur des sites d'anciens moulins, ce qui permettrait aussi la restauration des bâtiments et ouvrages préexistants, s'ils ne nuisent pas à la remontée des possions. Bien évidemment, ces productions ne peuvent être que faibles si on veut restaurer/préserver l'environnement naturel qui existait lorsque ces moulins étaient très utilisés (avant le développement de la machine à vapeur puis de l'électricité). Pourquoi ne pas profiter de dénivelées naturelles ( coteaux de 30 ou 50 m de hauteur) , le long de rivières, pour mettre en place de petites STEP (station de transfert d'énergie par pompage): Par exemple pomper l'eau de la rivière, quand il y a surproduction solaire, dans un réservoir en haut du coteau, et la relâcher la nuit suivante vers une turbine hydro-électrique.
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Publié le 21/12/2022 - 15h19
BriNal
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A - Se limiter à optimiser l’existant, car il n’apparaît pas opportun de développer de nouveaux projets
Le changement climatique observé cet été a mis en lumière les limites de la production hydraulique
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Publié le 21/12/2022 - 15h12
Helene@05
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A - Se limiter à optimiser l’existant, car il n’apparaît pas opportun de développer de nouveaux projets
Ce programme d'abandon des énergies fossiles vise à préserver la vie en protégeant le climat. Toute action qui détruit la biodiversité est contradictoire avec le but ultime qui est la préservation de la vie sur terre. A quoi sert-il en effet de tenter de préserver le climat en détruisant la vie sur terre? Nos cours d'eau sont en mauvais état, ils ont déjà été mis à contribution depuis plus d'un siècle, notamment pour produire la "houille blanche", il est urgent de les préserver davantage et non les détruire encore par des petits projets hydroélectriques supplémentaires qui n'apportent que fort peu de production: leur contribution est en effet dérisoire alors que les dégâts qu'ils causent sont graves. En montagne notamment, production électrique et consommation électrique ayant des saisonnalités opposées, accumuler les petites installations hydroélectriques n'a pas de sens car elles seront de toutes façons incapables de répondre aux pointes de demande locales, il vaut bien mieux protéger drastiquement les têtes de bassins versants pour préserver la biodiversité et rechercher des modes de stockage de l'électricité. Il faut prendre garde de ne pas augmenter la production quoi qu'il en coûte, on oublie ainsi que le coût est énorme et le gain très faible. La crise actuelle d'approvisionnement énergétique ne doit pas faire oublier qu'à moyen terme, l'équilibre offre demande reviendra, et vu le temps nécessaire pour lancer et réaliser de nouveaux projets de petite hydro, les besoins ne seront plus les mêmes mais la nature aura été détruite.. Le raisonnement tenu actuellement est à bien trop court terme, il faut au contraire améliorer et rentabiliser l'existant tout en le rendant moins impactant pour la nature et la vie. Voici déjà un beau programme en comptant les recherches sur les possibilités de stockage de l'électricité. Sauvons les têtes de bassins versants et en même temps le milieu aquatique .. Il ne reste plus beaucoup d'eaux libres! La limitation des impacts environnementaux est par ailleurs trop subjective..et relève bien souvent de la déclaration d'intention.
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Publié le 21/12/2022 - 15h11
BAUDRY
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A - Se limiter à optimiser l’existant, car il n’apparaît pas opportun de développer de nouveaux projets
La biodiversité aquatique est suffisamment affectée pour ne pas encore développer des projet qui feront des dégâts irréversibles
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Publié le 21/12/2022 - 11h32
Nicolas Barla
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B - Optimiser l’existant et, concernant de nouveaux sites, aménager uniquement ceux dont le potentiel est significatif ou ceux présentant une sensibilité environnementale quasi-nulle
Il y a un compromis à trouver entre développement de nouveaux projets et impacts environnementaux.
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Publié le 21/12/2022 - 11h15
brice.merle
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B - Optimiser l’existant et, concernant de nouveaux sites, aménager uniquement ceux dont le potentiel est significatif ou ceux présentant une sensibilité environnementale quasi-nulle
Il faut se contenter des sites déjà existants et participer à la rénovation de ceux-ci.
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Publié le 21/12/2022 - 10h52
Yoann ROUX
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C - Développer tous les projets hydroélectriques, y compris les très petites installations pour maximiser les capacités installées, et y compris les projets plus coûteux, tout en essayant de limiter les impacts environnementaux
Les centrales hydroélectriques du parc français, petites et grandes, ont démontré depuis des décennies qu’il était possibles de concilier les usages environnementaux et énergétiques. Alors que la stabilité du réseau électrique national s’apprête à être malmenée cet hivers, que l’on demande à des millions de français de faire de petits geste en faveur de la sobriété énergétique, pourquoi s’interroge t’on sur la pertinence du développement des petites centrales hydroélectriques alors que chacune d’entre elle couvre annuellement la consommation de plusieurs milliers de personnes ? Les connaissances scientifiques sur les sujets environnementaux n’ont jamais été aussi fournies, la conciliation des enjeux est aujourd’hui au centre des échanges entre les service de l’Etat et les porteurs de projet afin de codévelopper des projets équilibrés et vertueux, tant pour la biosphère locale que pour la transition énergétique nécessaire à l’avenir de notre planète.
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