Energie
Thème 3 : Comment planifier, mettre en œuvre et financer notre transition énergétique ?
3.3 - Identification des freins et des préoccupations vis-à-vis de la transition énergétique
Selon vous, quel est le principal frein à la transition énergétique (1 réponse au choix) ?
- L’incertitude quant aux changements et contraintes que la transition énergétique pourrait faire peser sur nos modes de vie et notre quotidien
- L’impact financier pour les consommateurs, notamment les plus modestes, qui serait contraire à l’objectif d’une transition juste et équitable socialement
- Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
- Autre proposition
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Publié le 05/11/2022 - 12h05
charpce
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
selon moi, le frein majeur à la transition energetique se situe dans le désir de maintenir une économie mondiale associée à de la croissance qui exige toujours plus d'energie; partant du postulat contraire et écrasant de vérité, affirmant que la "décroissance" sera inévitable dans un désir d'un avenir durable, alors un nouvel ordre économique devra prendre place. Cela passera par des renoncements à l'extreme richesse pour certains, l'aviation telle qu'elle existe disparaitra et nos modes de vie seront radicalement transformés. Terminé les expéditions en 24h de marchandise inutile et gourmande en energie, transformation de l'indistrie du textile fortement polluante, des services vont automatiquement disparaitre . Mais comment pouvons nous alors aujourd'hui encore tolérer des coupes du monde au Qatar, et des jeux olympiques d'hiver en Arabie saoudite???????????????????? Renoncer à tout cela, c'est aussi se préparer à de fortes tensions politiques et potentiellement des représailles de l'Asie qui refusera de renoncer à une economie de marché Les propositions à cette question ne vont pas assez loin. Tous ou presque sommes conscients que les enjeux de demain sont synonymes de profonds changmeents tant individuels que collectifs, et seule une minorité de francais l'ont bien saisi et s'y préparent. La frénésie consumériste est au plus haut. Notre société ne prone que loisirs et divertissements; mais vivant dans un village, on se rend compte du délitement progressif des liens sociaux. Il faut redonner du sens à la vie des gens qui ne comprennent plus leur place et selon moi, cette transition energétique majeure sera une opportunité à nous questionner sur le choix de civilisation que nous souhaitons avoir. Les gadgets du metaverse ne nous sauveront pas mais nous maintiendrons dans une réalité. Les geants qui brassent des milliards doivent cesser cette course à la palme du plus riche. Alors que la politique apprenne des scientifiques. En les ecoutant .
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Publié le 05/11/2022 - 11h23
Andrea
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
B. forcément sur les coûts, mais également le manque de visibilité sur les "bons" moyens à mettre en œuvre (on se rappelle la RT2012 qui favorisait le gaz). Globalement il faudrait une vraie planification étatique qui assurerait le déploiement ET le financement intégral (afin de garantir la redistribution juste). On voit trop de copropriétés refuser les isolations et/ou le passage à un moyen de chauffage économe en énergie faute de moyens, mais également des projets de chaleur urbaine qui ne vont pas jusqu'au bout (à quoi bon avoir un réseau si on n'a pas le raccordement) L'Etat doit se faire maitrise d'ouvrage sur l'électricité, les bornes de recharge, l'isolation et la chaleur, un peu comme avec la rétrocession des colonnes électriques à ENEDIS. L'Etat doit planifier, financer et réaliser les travaux en augmentant les impôts et en mettant une redevance (modeste) sur les utilisateurs (bâtiments isolés, chauffage rénové, etc...) On est sur un sujet où l'optimum est "système" et où l'intérêt de chacun est d'attendre que les autres fassent. Seul l'Etat peut mener les travaix nécessaires dans les délais et surtout avec un financement juste. Les incitations et aides actuelles créent des parasites (ingénieries financières qui se chargennt, moyennant rémunération, d'obtenir les aides). Une maitrise d'ouvrage, voore maitrise d'œuvre Étatique diminuerait les coûts globaux (aides + reste à charge) et garantirait une répartition juste des coûts
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Publié le 05/11/2022 - 00h57
guivince45
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A - L’incertitude quant aux changements et contraintes que la transition énergétique pourrait faire peser sur nos modes de vie et notre quotidien
Il y a trop d'incertitude concernant les changements et les contraintes qui vont s'imposer dans notre quotidien pour que les gens s'engagent pleinement. En effet, acheter une voiture électrique à un prix élevé avec des contraintes fortes (autonomie, peu de bornes de rechargement, durée des recharges...) alors que les voitures thermiques restent abordables avec des contraintes encore faibles. De plus, il n'y a pas de garantie que cette voie soit pérenne à 15, 20 ans, donc comme pour tout changement, les gens attendent de voir ce qui va se passer en observant les "early adopters" se lancer, avant de franchement se décider à embrasser ce changement.
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Publié le 04/11/2022 - 22h57
Hugz
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B - L’impact financier pour les consommateurs, notamment les plus modestes, qui serait contraire à l’objectif d’une transition juste et équitable socialement
Il faut aider massivement les contribuables les plus modestes pour qu'ils aient accès à l'énergie verte.
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Publié le 04/11/2022 - 21h41
SLB61
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Le manque d'obligation et de contrôles, légiférer sera le seul moyen de faire changer les choses.
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Publié le 04/11/2022 - 21h35
ndebove
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B - L’impact financier pour les consommateurs, notamment les plus modestes, qui serait contraire à l’objectif d’une transition juste et équitable socialement
La transition doit etre sociale.
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Publié le 04/11/2022 - 18h08
JeanDupont
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A - L’incertitude quant aux changements et contraintes que la transition énergétique pourrait faire peser sur nos modes de vie et notre quotidien
C'est très complexe de se projeter sur les solutions à adopter à part la sobriété. Les technologies (efficacité) n'ont pas été suffisamment travaillées et soutenues donc nous en arrivons à des situations critiques sur les voitures par exemple (quel véhicule acheter demain pour pouvoir le conserver pendant 20 ans?!). Et que les vélos sont la solution ultime mais qui ne fonctionne pas pour les très longues distances... Il faut pouvoir montrer au grand public que le futur sera forcément moins rêveur, moins désirable qu'aujourd'hui, il sera plus cher, etc. Mais c'est nécessaire de s'y atteler car plus on repousse, plus la marche est haute ! C'est en ce sens que le scénario négaWatt est vraiment inspirant.
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Publié le 04/11/2022 - 17h48
Norbert
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C - Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
Il y a beaucoup de désinformations, erreurs, fausses croyances qui viennent surtout d'une peur du changement ou pour protéger les intérêts d'une minorité. Il est temps de donner à la transition énergétique l'importance, l'exigence et la l'engagement qu'elle nécessite. Tous les acteurs doivent en prendre conscience et agissent.
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Publié le 04/11/2022 - 16h43
fradel95@yahoo.fr
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C - Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
J'avais envie de répondre A, B et C.
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Publié le 04/11/2022 - 16h11
sgaultier
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C - Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
Les gens entendent de plus en plus parler des effets du dérèglement climatique mais beaucoup pensent qu'agir ne sert à rien (triangle de l'inaction). Plus il y aura de personnes à rentrer dans l'action plus nous aurons de chance de convaincre les plus sceptiques.
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