Publié le 02/01/2023 - 22h04
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B - Une réindustrialisation massive, corrélée à une réduction du fret national et du commerce extérieur. Ce modèle suppose des investissements massifs dans l’industrie française et une augmentation des besoins énergétiques associés
Les options proposées sont étrangement formulées : environ la moitié de l'empreinte carbone moyenne d'un français est importée. Donc l'augmentation de la demande en énergie liée à une réindustrialisation ne s'accompagne pas forcément (et même certainement pas) d'une augmentation des émissions associées (nationales + importées). Le bonheur et le bien-être basés sur la consommation de masse du jetable n'est pas / plus soutenable Il faut donc combiner la sobriété générale (mois consommer de tout) avec la réindustrialisation (donc production plus locale et souvent moins carbonée), en donnant la priorité (incitations diverses : fiscales, subventions, etc.) aux produits & services durables, à faible impact CO2eq et réparables / réutilisables (le recyclage est un dernier ressort).
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