Publié le 06/11/2022 - 11h19
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A - Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.
Plutôt réponse A. J'ai conscience de manquer de culture et de compréhension fine des mécanismes. Cependant, nous pouvons très largement consommer moins, en chassant le superflu, et la course systémique au toujours plus. Acheter moins de choses. Vouloir, tout simplement moins de choses (quel est l'intérêt d'un "goodies" publicitaire, qui fais plaisir lorsqu'on le reçoit et qui finit invariablement à la poubelle ou au fond d'un tiroir). Cette démarche doit permettre les activités de loisir et "non vitale". Donc pour moi la priorité est une baisse de la consommation, donc de la demande. Associé à une valorisation du local, surtout pour la nourriture et les besoins du quotidien. Si cette démarche est mise en oeuvre, il reste bien sûr des besoins à couvrir, qu'il faudrait couvrir de préférence localement, donc avec diminution du fret national. En revanche ne connaissant pas suffisamment précisément l'état de l'activité industrielle nationale, je ne sais pas s'il faudrait la maintenir, l'augmenter ou la diminuer. Mais bien que manquant de connaissances, je suis persuadé que l'on peut tenter d'autre modèle d'organisation, qui soient plus sobres. Notre modèle actuel a de toutes façon montré ses limites.
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