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Publié le 07/12/2022 - 14h57

richard37

  • C - Un mix de ces deux solutions

Pour répondre correctement, la question aurait dû définir ce qu'est un "grand" ou un "petit" parc. Développer un "grand" parc ne veut pas forcément dire diminuer les coûts associés: grand parc veux dire besoin important sur le RPD et/ou RPT (réseau électrique) donc potentiellement forts investissements en des lieux précis. De même, ne faire que des grands parc revient 1) à concentrer les impacts donc risquer un rejet des populations qui dépassera les frontières de la zone concernée (voir Haut de France qui est cité dans la France entière comme l'exemple à ne pas reproduire et comme prétexte d'un rejet même dans des territoires qui n'accueille pas ou peu d'éolienne à ce jour); 2) à une configuration du type AO pour l'éolien offshore où seule les grandes entreprises sont retenues = la mort des plus petits développeurs et de la concurrence. La concurrence entre développeur, de taille différente, est bénéfique car elle multiplie d'autant les approches de développements différents. Un développeur de petite taille ou de taille moyenne sera certainemetn plus ouverts à certaines pratiques que de grand groupe (par ex investissement participatif, co-gouvernance, etc.). Enfin, un projet éolien doit rester adapté à son territoire. Laissons la place à l'étude cas par cas tout en planifiant correctement à l'échelon territorial adapté pour éviter les mitages. Pour rappel, la France a déjà expérimenté les 2 aspects: faire des "petits" parcs limités à 12MW de 2000 à 2009 avec le phénomène de mitage associés PUIS avec la loi dites des "5 mâts" sous N SARKOZY avec un blocage complet dans certaines régions qui géographiquement parlant ne peuvent pas accueillir des parcs de plus de 5 éoliennes du fait d'un habitat diffus par exemple (Bretagne...).