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Publié le 10/01/2023 - 16h04

Guillaume Courville

  • A - Une réduction du fret national et du commerce extérieur, ainsi qu’à une baisse significative de l’activité industrielle nationale. Ce scénario entraînerait une baisse drastique de nos consommations de biens manufacturés et de nos besoins en construction, grâce à des comportements et des modèles d’organisation beaucoup plus sobres.

Si l'obsolescence programmée est bonne pour le "chiffre d'affaires", voire pour favoriser l'innovation, elle agit bien trop sur l'épuisement des ressources et les transports induits, eux-mêmes trop mécanisés et énergivores, même décarbonnés. Le bonheur peut-il s'apprécier sur des valeurs humaines, plutôt que sur les possessions matérielles (et autres dépaysements à l'autre bout du monde) ?