Energie

Thème 2 : Comment satisfaire nos besoins en électricité, et plus largement en énergie, tout en assurant la sortie de notre dépendance aux énergies fossiles ?

2.6 - Le développement du photovoltaïque (2ème question)

Dans les différents scénarios de l’étude « Futurs énergétiques 2050 » de RTE, la France dispose en 2050 de 70 GW à 214 GW de photovoltaïque, soit respectivement plus de 5 et 16 fois la capacité installée fin 2021 (13 GW). Les mesures pour développer les projets photovoltaïques sur bâtiments, parking et friches industrielles et commerciales se poursuivront. Toutefois, des projets photovoltaïques au sol seront nécessaires.

Selon vous, le développement des projets photovoltaïques devrait se réaliser plutôt par (1 réponse au choix) :

  • Des projets de petites tailles, mais répartis sur le territoire.
  • Des projets de petites tailles, spécifiquement sur les toitures et chez les particuliers, avec l’impact patrimonial qui accompagne ce choix.
  • De grands projets au sol permettant de concentrer la production photovoltaïque sur quelques zones bien définies et permettant de limiter les coûts associés
  • Un mix de ces solutions
  • Autre proposition

  • Publié le 29/10/2022 - 10h20

    JDCHAL35

    • B - Des projets de petites tailles, spécifiquement sur les toitures et chez les particuliers, avec l’impact patrimonial qui accompagne ce choix

    Limiter au maximum l'impact sur des zones agricoles et l'impact sur la biodiversité

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  • Publié le 29/10/2022 - 09h54

    L-H

    • D - Un mix de ces solutions

    L'arrêt de la destruction de nouvelle zones naturelles et vivantes par l'homme doit être primordiale pour assurer le régénération des écosystèmes s'il en est encore temps. Aussi, les parcs d'ampleur doivent se limiter à des zones qui n'ont pas d'intérêts importants ni pour les humains ni pour la nature. Ainsi, les grands parcs n'ont pas leur place en forêt, ni sur des terres fertiles. Par ailleurs, le coût ne doit plus être systématiquement le premier paramètre mais une variable de comparaison entre des projets similaires. Enfin, les productions réparties ont aussi une valeur pédagogique et sociétale qu'il ne faut pas négliger. Cela montre une participation d'un grand nombre d'acteurs dans cette transition.

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  • Publié le 29/10/2022 - 00h35

    StephaneR

    • D - Un mix de ces solutions

    Les grands projets au sol doivent exploiter les gisements actuels (parkings, toitures des centres commerciaux, toitures des entrepôts,...) et ne pas générer d'artificialisation ou de changement d'usage des sols. Les petits projets chez les particuliers favorisent l'autoconsommation et peuvent aussi réduire la demande au réseau RTE

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  • Publié le 28/10/2022 - 21h36

    michelg34

    • B - Des projets de petites tailles, spécifiquement sur les toitures et chez les particuliers, avec l’impact patrimonial qui accompagne ce choix

    Il y a suffisamment de surface batie, toiture, façades bien orientées, parking, etc... pour qu'on puisse y installer à grande échelle du photovoltaïque sans avoir besoin de préempter encore plus de surface naturelle. Le principe d'autoconsommation devrait être encouragé et non freiné comme il l'est aujourd'hui. Beaucoup d'autoconsommateurs refusant la complexité administrative, et donc prêt à donner gratuitement leur surplux sont freinés aujourd'hui par : la limitation à 3kW du don, (il devrait être limité uniquement par la puissance de soutirage souscrite), la non-gratuité du don (paiement de la TURPE une 2ème fois pour donner gratuitement..., alors qu'il n'y a aucune modification du compteur Linky, aucun comptage), les démarche administrative ambigu (PLU en contradiction avec la loi, par exemple intégration/surimposition), . L'autoconsommateur ne coute rien à société, devient naturellement sobre, participe à l'élimination des pic de consommation de 12h, et peut même donner gratuitement son surplux. Aucune modification du réseau RTE / ENEDIS n'est nécessaire, à la différence des grandes installation. Les périmètres ABF sont aussi un frein important : L'urgence climatique devrait pousser à un peu plus de tolérance de l'ABF dans l'acceptation ou l'adaptation des projets. Le Photovoltaïque devrait être imposé dans toute construction neuve ou réfection totale de toiture au titre de l'urgence climatique.

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  • Publié le 28/10/2022 - 21h09

    jfc18

    • E - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)

    Pas de photovoltaïque, les panneaux sont produits à l'étranger, sont produits avec de l'électricité carbonée, ont une durée de vie optimum de 20 à 25 ans alors que le nucléaire génère de l'emploi en France et on peut tabler sur une durée de vie de 60 ans.

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  • Publié le 28/10/2022 - 19h17

    gpinus

    • D - Un mix de ces solutions

    Les 100 GWc annoncés par Macron doivent être répartis entre des projets sur toiture mais également des grands projets au sol qui permettent de produire à des coûts très compétitifs.

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  • Publié le 28/10/2022 - 19h11

    Thierry BOURCY

    • B - Des projets de petites tailles, spécifiquement sur les toitures et chez les particuliers, avec l’impact patrimonial qui accompagne ce choix

    J'ai déjà utilisé des panneaux sur mon toit, c'était très convaincant. N'en déplaise aux Bâtiments de France, l'impact patrimonial n'a aucune importance, sauf tout près de monuments historiques.

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  • Publié le 28/10/2022 - 18h52

    PADMS

    • B - Des projets de petites tailles, spécifiquement sur les toitures et chez les particuliers, avec l’impact patrimonial qui accompagne ce choix

    Le développement des projets photovoltaïques doit se faire par des projets de petite taille répartis sur tout le territoire, ceci afin de profiter au maximum de toutes les surfaces possibles (friches, toitures de grande surface) et d’éviter toute forme d’artificialisation concurrentes de nouvelles surfaces pour des parcs éoliens par déforestation ou régression de surfaces à vocation agricole.

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  • Publié le 28/10/2022 - 18h41

    Frank S

    • D - Un mix de ces solutions

    Il faut utiliser toutes les opportunités de développer le PV aussi bien les petits projets sur des bâtiments que des grands projets sur des friches ou des zones inutilisées (bord des autoroutes, des voies ferrées..)

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  • Publié le 28/10/2022 - 18h39

    RLullius

    • E - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)

    Il faut prendre en compte : () le besoin en métaux "global" de chacune de ces typologies de solutions par Mwh annuels produits [disons : effet d'échelle] () les coûts de nettoyage et d'entretien des installations () les coûts et l'efficacité probable du recyclage en fin de vie toujours par typologie de solution. Intuitivement, aller vers des projets de trop petites tailles ne conduit pas à un optimum. Une limite basse à 2500 m2 me semble raisonnable.

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