Energie
Thème 3 : Comment planifier, mettre en œuvre et financer notre transition énergétique ?
3.3 - Identification des freins et des préoccupations vis-à-vis de la transition énergétique
Selon vous, quel est le principal frein à la transition énergétique (1 réponse au choix) ?
- L’incertitude quant aux changements et contraintes que la transition énergétique pourrait faire peser sur nos modes de vie et notre quotidien
- L’impact financier pour les consommateurs, notamment les plus modestes, qui serait contraire à l’objectif d’une transition juste et équitable socialement
- Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
- Autre proposition

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Publié le 24/10/2022 - 22h07
andrejea
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Les citoyens ne sont pas vraiment au courant de l'importance de l'impact du réchauffement climatique et de l'impact que celui-ci aura dans quelques années. Si ils en avaient conscience, ils réagiraient (ou devraient être obligés par l'état). Plus on réagit tôt, moins on souffrira. Il faut éduquer au plus vite avec une journée du climat où on ne parlera que de ça sur toutes les chaines de télé et Netflix. Il faut insiste pour que les gens comprennent que la sobriété et le lien social local peut être le bonheur et non la surconsommation et l'individualisme.
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Publié le 24/10/2022 - 21h47
Marsouin25
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Concernant le photovoltaique, La France se cache piteusement derrière l'argument « on privilégie les grosses installations » pour masquer son échec cuisant sur le PV résidentiel, au potentiel pourtant considérable. Ce dernier souffre d'abord d'un prix de l'électricité trop bon marché (cela on n'est pas prêt d'y remédier, hélas ai-je envie de dire), mais également d'une spirale négative, une pompe désamorcée si l'on veut : faute de chantiers, les entreprises gonflent les devis pour de dégager de la marge, ce qui n'incitent pas les particuliers à s'équiper, ce qui fait que les installateurs augmentent les tarifs, etc. Et ce malgré les mensonges de l'ensemble de la filière, installateurs comme associations ou encore institutions : Non, un 3 kWc à 9 ou 10.000€ n'est PAS rentable au bout de 12 ans, ni même 15, ceux qui le prétendent sont de complets MENTEURS. Le faible résultat acquis jusqu'à maintenant est basé sur des mensonges, c'est peut-être cela qui est le plus navrant... Alors que faire ? Surtout pas élargir la prime à l'installation. Elle serait immédiatement captée par les installateurs, comme la prime actuelle. Pourquoi ne pas instaurer un bonus-malus sur les taxes foncières des propriétaires de maisons individuelles ? Ce système serait équilibré sans un seul centime d'argent public. Comme seules 0,5 % des maisons sont équipées actuellement, un malus quasi-indolore de 1€ pour les non-équipés ferait bénéficier les équipés en moyenne, de 200€ annuels… Pas mal pour assurer la rentabilité ! Les entreprises ne pourraient pas capter la manne. Pas d'effet de seuil à l'instauration du système, qui plus est. On pourrait fixer le bonus quelques années, jusqu'à atteindre les 5 % d'équipés (soit 10€ de malus), après on fixerait le malus et c'est le bonus qui diminuerait doucement. Dans l'intervalle, on aurait « réamorcé la pompe », et les prix auraient diminué. En tout cas je pense que sans une idée neuve et originale, le PV résidentiel ne prendra jamais en France.
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Publié le 24/10/2022 - 21h28
Guillaume
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B - L’impact financier pour les consommateurs, notamment les plus modestes, qui serait contraire à l’objectif d’une transition juste et équitable socialement
Pour les consommateurs les plus modestes, cet impact doit être à la mesure de leurs ressources.
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Publié le 24/10/2022 - 21h24
Gooners33
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C - Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
Le manque d’information fait que les gens ne sont pas forcément au courant des enjeux, de l’urgence ou des actions qu’ils peuvent mettre en place à leur échelle ou les directions globales à adopter (priorités lors des élections).
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Publié le 24/10/2022 - 20h49
Charly
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C - Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
Les gens ne sont pas assez informés
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Publié le 24/10/2022 - 19h47
R_Flag
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Les premier, deuxième et troisième frein à la TE est le MANQUE DE VOLONTÉ POLITIQUE. Viennent ensuite en vrac, le manque de compréhension du phénomène mondial du changement climatique, l'égoïsme, la difficulté de se priver aujourd'hui pour un bénéfice qu'auront nos petits-enfants, etc. SEULE LA VOLONTÉ POLITIQUE D'ENGAGER FORTEMENT LA TE PERMET PERMET DE RENVERSER CES OBSTACLES INHÉRENTS À LA NATURE HUMAINE. Ce n'est pas de l'élitisme, c'est du réalisme.
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Publié le 24/10/2022 - 18h30
mathieu.hoyer
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
1- La communication et l'éducation incitant à prendre des mesures adaptées à tous niveaux, de l'individu jusqu'aux entités publiques et privées. 2- L'économie: le financement des opérations de rénovations, de passage aux modes doux, etc. est perçu comme une contrainte économique en raison des temps de retour extrêmement longs. Cela créé en plus une rupture sociale dangereuse sur le long terme.
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Publié le 24/10/2022 - 17h40
JMD89321
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B - L’impact financier pour les consommateurs, notamment les plus modestes, qui serait contraire à l’objectif d’une transition juste et équitable socialement
L'accès à des technologies compatibles tant avec des sources d'énergie décarbonée qu'avec des objectifs de sobriété ambitieux passe obligatoirement, pour tout consommateur, par des investissements lourds : isolation, nouveau système de chauffage, de production d'énergie, etc.). Il conviendrait de pouvoir financer ces investissements par des emprunts dont le capital serait remboursé seulement au moment de la mutation du bien ayant fait l'objet de ces investissements.
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Publié le 24/10/2022 - 17h19
MarcMBBoulogne
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Réduire l'impact financier pour tous les consommateurs ou les décideurs. C'est ce qu'indique le question B, mais ce n'est pas uniquement une question de justice ou d'équité : en effet, pourquoi changer sa chaudière ou installer des capteurs solaires si le temps de retour de l'investissement est trop long ; visiblement les aides actuelles ne sont pas suffisantes. Pourquoi acheter un réfrigérateur A++ sachant que l'électricité économisée par rapport à un ordinaire ne couvre pas le supplément de prix. Il y a un sentiment de rejet de la transition énergétique lorsque l'on interdit aux voitures diesel d'entrer dans les villes et qu'il faut donc vendre à perte sa voiture ; de même lorsque l'on interdit de louer un logement trop consommateur d'énergie : les propriétaires préfèreront le laisser vide plutôt que d'investir dans une isolation qui ne pourra pas être couverte par le loyer et cela va augmenter les prix des locations ou le nombre de SDF ! Tout cela risque de créer des réfractaires à la transition énergétique. La solution est peut-être de créer un fond d'adaptation donnant des aides en complément des aides d’État actuelles, sous la forme d'un prêt à taux zéro dont la durée serait celle du temps de retour de l'investissement.
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Publié le 24/10/2022 - 17h11
Eliane37
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B - L’impact financier pour les consommateurs, notamment les plus modestes, qui serait contraire à l’objectif d’une transition juste et équitable socialement
Si l'impact financier est insupportable le profit de la transition deviendra contrainte et donc intolérable
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