Energie
Thème 3 : Comment planifier, mettre en œuvre et financer notre transition énergétique ?
3.3 - Identification des freins et des préoccupations vis-à-vis de la transition énergétique
Selon vous, quel est le principal frein à la transition énergétique (1 réponse au choix) ?
- L’incertitude quant aux changements et contraintes que la transition énergétique pourrait faire peser sur nos modes de vie et notre quotidien
- L’impact financier pour les consommateurs, notamment les plus modestes, qui serait contraire à l’objectif d’une transition juste et équitable socialement
- Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
- Autre proposition

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Publié le 13/12/2022 - 12h21
Christo38
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C - Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
Le manque d'information sur les actions et bénéfices apportés incite plus à rejeter la responsabilité sur les autres types d'acteur alors que chacun a un rôle à jouer
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Publié le 13/12/2022 - 10h14
oj
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C - Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
L’égoïsme et la courtesse/l'étroitesse de vue de l'homme, le fait que chacun attende l'autre pour s'y mettre, de ne pas avoir envie de se faire avoir en allant vers la sobriété alors que d'autres en profitent pour se gaver en parallèle
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Publié le 12/12/2022 - 23h24
FPI
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Les collectivités disposaient des outils nécessaires et suffisants pour conduire leurs politiques de dvlpt des ENR en lien avec les services de l'Etat : SRADDET, SRCE, DTA, SCOT/PCAET, PLU(i)... On observe dans certains territoires une faculté acquise de s'affranchir de la hiérarchie des normes et/ou d'établir des doctrines en méconnaissance des textes, ce qui suscite l'incompréhension, la suspicion et au final la mobilisation citoyenne, parfois spontanée, parfois avec récupération politique, dans tous les cas avec risque de blocage. On observe également parfois une mise en retrait de l'administration, considérant - à tord - que les lois de décentralisation laissent désormais aux collectivités toutes marges de manoeuvre pour la planification territoriale et en particulier énergétique. Dans les territoires à la dérive, cela revient à confier l'intérêt général aux mains de politiques clientélistes qui accentuent les inégalités. Les récentes couches législatives et reglementaires additionnelles ont déjà et auront pour effets durables l'opposé de ceux recherchés, une perte de confiance dans les autorités, et un risque augmenté d'effondrement.
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Publié le 12/12/2022 - 22h43
beaver31
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Les freins principaux sont les opposition stériles et non scientifiques, qu'elles soient politiques, associatives, médiatiques... Il est urgent qu'un conseil scientifique expert définisse et planifie les mesures indispensables à une transition efficace à travers plusieurs scénarios, tout en restant supportable économiquement pour le pays et pour les citoyens. Ensuite, aux candidats de se positionner sur les scénarios présentés et de s'engager à les réaliser, et aux citoyens de choisir.
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Publié le 12/12/2022 - 21h54
clara.meyer
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C - Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
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Publié le 12/12/2022 - 15h15
pascal ptp
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B - L’impact financier pour les consommateurs, notamment les plus modestes, qui serait contraire à l’objectif d’une transition juste et équitable socialement
La verticalité et l'étroitesse de vue des décisions très inadaptées et anxiogènes pour les plus faibles, mais pas que puisqu'elles ne prennent pas en compte les conditions sociales de chaque territoire.
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Publié le 12/12/2022 - 14h26
biros
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B - L’impact financier pour les consommateurs, notamment les plus modestes, qui serait contraire à l’objectif d’une transition juste et équitable socialement
Quand on voit le prix d'une rénovation thermique, ou du changement du mode de chauffage, il est crucial que chaque foyer soit accompagné financièrement. Les prêts devraient également être à taux zéro.
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Publié le 12/12/2022 - 10h50
Michael_G
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C - Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
On constate un manque d'acculturation sur le sujet de la transition au niveau du gouvernement, donc on imagine comment ça se décline au niveau de la population (mis à part qqs cercles d'initiés). Une bonne connaissance des rôles et enjeux permet de cibler les actions les plus prépondérantes.
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Publié le 11/12/2022 - 23h01
Koussouros
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
il y a deux pièges mental dans ces questions la première considérant le problème environnemental sous l'unique critère du co2 alors que pendant ce temps il y a une explosion des polluants en train de détruire la nature mais aussi nous détruire en nous rendant tous malade, par exemple il va y avoir une véritable pandémie Alzheimer à cause de tous les processus inflammatoire qui s'accélèrent et font ont reculé de 10 ans l'âge d'Alzheimer . troisième point évidemment les déchets qui outre l'impact du même ordre que les polluants va générer un problème économique quant à la gestion . enfin 4e problème plus direct évidemment c'est l atteinte physique direct des biotopes par la destruction des forêts, un urbanisme mal géré exetera . donc quelque part le Co2 occupe le terrain mental il devient lui-même un polluant cognitive du fait qu'ils nous détourne d'une vision globale et d'un sens aigu de la gestion des différents problèmes dans le temps et dans l'espace . le deuxième piège et de nous focaliser sur la production d'énergie alors que alors que le potentiel de réduction de consommation d'énergie gravitent autour de 98 pourcent ce qui nous permettrait d'atteindre ce que j'appelle la passerelle énergétique consistant à rapprocher par les deux bouts cette réduction de consommation avec une production qui serait alors exclusivement respectueuse de l'environnement y compris sur le plan des amenites plan de réduction de consommation énergétique il est nécessaire de mettre en place une autre plate-forme exclusivement dédiée à cela les possibilités sont gigantesques et sans perdre de temps il faudrait une loi qui liste au moins 1000 modifications immédiate pour réduire la consommation énergétique obligation de multiprise avec bouton , obligation de mise en veille intelligente de tous les systèmes électriques et électroniques par exemple lorsque il n'y a pas de clients devant les frigidaires des magasins la lumière devrait s'éteindre il y a des milliers de dispositif qui peuvent avoir des systèmes de bail intelligente , obligation de mise en place de 1 pourcents de linéaire dans les magasins de produits destinés à réduire la consommation énergétique , je n'aurai aucun mal a vous proposer 1000 modifications techniques ou methodologiques qu il est possible d'imposer immédiatement il est à noter par ailleurs il y a aussi des dispositifs d'économie d'énergie qui ont été produits il y a un siècle et qui ont disparu de nos jours par exemple l'usage de lentille Fresnel sur des vitres d'imposte qui permettent de réorienter la lumière liés à l'albédo vers le bas de la pièce produit par un verrier français très connu pour sa large gare de verre imprimé ou bien divers systèmes qui permet de réchauffer le lit
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Publié le 11/12/2022 - 20h53
Sylvain Rebillat
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
C'est l'ensemble de notre pacte social et du récit collectif qui doivent être revus en profondeur pour engager la radicale et nécessaire transformation de nos modes de vie. Les effets des dérèglements sont déjà existants, mesurés et massifs. Si le changement climatique commence depuis quelques décennies à produire des effets subis par l’ensemble de la biosphère, nos modes de vie ont d’ores et déjà entraîné la sixième extinction de masse, qui menace de plus en plus d’espèces. Dès lors, de simples efforts cantonnés à baisser le chauffage d’un degré, à enfiler un pull ou à rouler en voiture électrique ne permettront absolument pas de répondre aux bouleversements causés par les sociétés humaines qui surconsomment (sixième extinction de masse, chute des espaces vierges, pillage des ressources naturelles, changement climatique, affaissement de la cohésion sociale). Un changement de mode de vie profond, radical et rapide doit être engagé. Les orientations énergétiques du pays et les choix en matière de sobriété énergétique, doivent être pris sur la base des connaissances scientifiques dont nous disposons et de la prise en compte de l’ensemble des crises et effondrements. L’adhésion d’une majorité de citoyen.ne.s au changement radical de mode de vie ne sera accessible que si nous y travaillons collectivement. La place de l’Etat est centrale pour coordonner cette démarche et pour transformer l’imaginaire collectif. Le récit collectif que nous connaissons depuis l’après-guerre, basé sur une recherche de croissance du PIB infinie et sur une consommation effrénée est tout à fait incompatible avec la préservation du vivant et des espaces naturels. L’une des actions à mener par l’Etat est de transformer le récit collectif qui garantit la cohésion sociale. L’Etat devra également s’assurer que toutes les politiques publiques mises en œuvre ne présentent pas de dissonance avec ce récit commun. Par exemple, le maintien de la publicité pour des biens de consommations est tout à fait incompatible avec la recherche de la chute de consommation indispensable à notre survie.
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