Energie
Thème 1 : Comment adapter notre consommation pour atteindre l’objectif de neutralité carbone ?
1.2 - L'usage des bâtiments
Les orientations proposées sur l’usage des bâtiments, qui est l’un des quatre enjeux importants impactant les consommations d’énergie, s’inspirent des quatre scénarios développés par l’ADEME dans son étude Transition(s) 2050. Elles décrivent des évolutions générales de société sans nécessairement préciser comment elles se déclinent au niveau individuel ou territorial par exemple.
Que seriez-vous prêt à mettre en place individuellement et collectivement concernant l’usage des bâtiments (1 réponse au choix) ?
- Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
- Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
- Un maintien global des usages actuels, avec des efforts et une réduction des besoins énergétiques limités. Ce scénario prendrait ainsi en compte uniquement un effort modéré sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne), le reste étant inchangé par rapport à la situation actuelle.
- Aucun effort particulier sur les usages, entraînant donc une poursuite de l’augmentation des besoins énergétiques. Dans ce scénario, aucun changement de pratique ne serait pris en compte, et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers poursuivrait sa hausse.

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Publié le 24/12/2022 - 07h39
vegetal'
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
Isolation : capitale !!! Les petits plus à enseigner aux populations : mettre des rideaux pour la nuit, s'habiller chaudement (même avec un bonnet à l'intérieur, si, si), boire/manger chaud, bouger. 18° me semble plus que raisonnable, même quand on est assis devant un ordi (une des activités les plus statiques !). Eduquer les populations à consommer moins : l'eau chaude ? que pour la douche et l'entretien (vaisselle et ménage). Appareils éléctroménagers ? le moins possible, à faire durer le plus longtemps possible : là il faut faire quelque chose par rapport à l'obsolescence scandaleusement programmée. Concrètement : lave linge (à quand des buanderies en bas des immeubles ? ), lave vaisselle (je sais, faudrait s'en passer, mais je vais avoir du mal...), refrigérateur-congélateur : petit!!!!!!, mixeur--plongeur, une bouilloire éléctrique, jet pour les dents, extracteur de jus, sèche cheveux (ET c'est tout... )
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Publié le 23/12/2022 - 23h15
Sinoubé
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
Le plus important pour moi, c'est surtout l'isolation des habitations pour le chauffage et la climatisation. Pour le reste, si on fait attention à éviter les consommations des appareils en veille (voir à les débrancher tout simplement) et veiller à ce que nos appareils durent le plus longtemps possibles me semblent être le bon combo. Faire de la sobriété sur des appareils électroniques me semblent artificiels quand on sait que l'électroménager d'aujourd'hui est rarement capable de tenir plus de 5 ans à cause de l'obsolescence programmé, alors que c'était le cas il y a plus de 30 ans. Or ce qui consomme le plus d'énergie et de C02 c'est plus la fabrication et l'acheminement de l'appareil chez soit que son utilisation en tant que tel aujourd'hui. Nos capacités technologiques aujourd'hui nous permettent d'avoir des appareils qui ont une meilleure efficacité énergétique qu'auparavant. Il s'agit juste maintenant de les faire durer le plus longtemps possible.
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Publié le 23/12/2022 - 21h13
bribri
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
Il faut absolument aller vers une sobriété maximale si nous voulons "survivre " comme espèce
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Publié le 23/12/2022 - 19h01
fp
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
Je pense qu'on peut avoir des logement avec des températures intérieures de 19°C, à condition d'engagement vigoureusement la rénovation thermique et durcir les normes de constructions (construire des habitations à énergie positive). Quelle aberration en 2022de voir encore des logements construits avec la norme thermique RT 2012, car le permis de construire a été déposé avant 2020 !
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Publié le 23/12/2022 - 18h40
Vincent DORE
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
Il faut faire des efforts importants. Non seulement en adaptant les usages (sobriété) mais aussi en améliorant drastiquement l'efficacité énergétique des bâtiments. On en parle depuis longtemps sans prendre les mesures vraiment appropriées.
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Publié le 23/12/2022 - 18h20
Bibes Bernard
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
Il faut limiter les besoins énergétiques concernant nos habitations.
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Publié le 23/12/2022 - 16h32
ondokoetxea
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
Des températures de confort aussi bien en hiver (19°) qu’en été (24°) peuvent être atteintes par des principes du bioclimatisme passif à énergie positive aussi bien en rénovation qu’en construction neuve. Que ce soit en rénovation du parc de logement existant qui consomme en moyenne en France 250 kWh par m2 et par an et où l’on peut rénover selon des scénarios éprouvés pour diviser par dix à douze la consommation d’énergie comme le scénario hollandais EnergieSprong en a déjà fait la preuve dans plusieurs milliers de logements en France, et centaines de milliers dans de nombreux pays voisins et continents plus lointains. D’autres scénarii existent et sont peut être plus adaptés à chaque micro-climat. Ou que ce soit en neuf avec des scenarii de type « zero energy development » qui permettent de diviser par vingt à quarante la quantité nécessaire d’énergie qu’il est alors facile de produire sur son toit Dans le scénario sur lequel nous sommes quelques dizaines à travailler au Pays Basque nos bâtiments seront [mot modéré]çus pour consommer 6 à 12 kWh au m2 par an, pour juste « tempérer » nos bâtiments sans avoir besoin ni de les chauffer ni de les climatiser. Ce sont des techniques connues et maîtrisées pour lesquelles il faut cesser de tergiverser et de faire dans la demie mesure Cela passe par le bioclimatisme - l’orientation du bâtiment - son exposition aux éléments - son isolation renforcée (35 à 50 cm selon les régions et altitudes) avec des matériaux renouvelables biosourcés et géosourcés en circuit le plus court possible - l’inertie d’un bâtiment grâce aux mêmes matériaux locaux parfois même in situ - la ventilation la plus naturelle possible par des techniques simples, efficaces et éprouvées, mais revisitées et complétée par des techniques contemporaines permettant de conserver la fraîcheur en été et la chaleur en hiver - la production d’énergie thermique et électrique solaire sur nos propres toits - la récupération intégrale de l’eau de pluie, sa filtration et son stockage pour tous les usages d’eau ne nécessitant pas d’eau potable dans la région réputée la plus pluvieuse d’Europe ou cinq des sept dernières années ont été marquées par la sécheresse voire l’absence de pluie, en alternance avec des pluies diluviennes où il pleut en un ou deux mois, parfois en quelques jours, voire quelques heures, ce qu’il pleut dans une métropole française en une année entière - la végétalisation de ses façades les plus exposées au soleil en période de canicule par exemple Il y a cent cinquante critères de transition écologique dans notre scénario herrikopolis lequel peut être adapté, décliné, dans n’importe quel territoire en fonction de ses propres caractéristiques de sol, de topographie, de climat, de pluviométrie, régime des vents, ensoleillement, environnement Chacun peut prendre sa part : « sois le changement que tu veux voir dans le monde » disait Gandhi
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Publié le 23/12/2022 - 15h21
djiel
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
Il faudrait vraiment libérer le droit d habiter en logements légers et autonomes type tinyhouse dans la campagne tout en contrôlant sérieusement leur faible impact sur l l'environnement
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Publié le 23/12/2022 - 14h31
heol32
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
En isolant suffisamment il est possible de maintenir une température confortable dans les logements. Faire en sorte que les logements consomment le moins possible d'électricité, surtout éviter les pics aux heures de pointes(limiter les plaques électriques pour la cuisson. Autoriser les pompes à chaleurs uniquement dans les logements classés A ou B. Développer le chauffage au bois performant en conditionnant une bonne isolation. Développer l'isolation biosourcée et prendre en compte la régulation de l'humidité dans le logement. Développer le solaire thermique pour l'eau chaude.
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Publié le 23/12/2022 - 14h09
PauloBtz
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
Vous ne parlez que d'efforts, vers l'usage Il s'agit d'accélérer la rénovation des logements qui provoquera la baisse des besoins en énergie. en parallèle, orienter les aides fiscales vers les propriétaires occupants au lieu des dispositifs de défiscalisation pour location (déduction intérêt emprunt de propriétaires en résidences principale pour primo accédant par exemple)
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