Energie
Thème 2 : Comment satisfaire nos besoins en électricité, et plus largement en énergie, tout en assurant la sortie de notre dépendance aux énergies fossiles ?
2.3 - Le développement de l’éolien terrestre (2ème question)
En 2021, la France disposait de près de 19 GW d’éolien terrestre, qui assurent 7% de notre production d’électricité. Dans les différents scénarios de l’étude « Futurs énergétiques 2050 » de RTE, la France disposerait de 43 à 74 GW d’éolien terrestre en 2050.
Selon vous, le développement des projets éoliens devrait se réaliser plutôt par (1 réponse au choix) :
- Des projets de petites tailles, mais répartis sur le territoire.
- De grands projets permettant de concentrer la production éolienne sur quelques zones bien définies et permettant de limiter les coûts associés
- Un mix de ces deux solutions
- Autre proposition

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Publié le 17/01/2023 - 09h59
ljmicky
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C - Un mix de ces deux solutions
Il faut de petites structures partout et les agrandir où c'est nécessaire.
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Publié le 17/01/2023 - 09h34
Jaquou
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C - Un mix de ces deux solutions
Un mix permettra de s'adapter aux enjeux locaux de chacun des territoires
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Publié le 17/01/2023 - 09h14
Quercus
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C - Un mix de ces deux solutions
Il faut adapter le développement au contexte agricole et de biodiversité. Là ou il y a de grandes plaines et que la biodiversité a déjà était fortement dégradé par l'agriculture et l'artificialisation, il faut que l'état prenne la main pour imposer de grands parcs comme il le fait en mer. À l'inverse dans des vallées plus morcelées, il faut proposer des implantations cohérentes avec le paysage naturel. Mais il est très important d'arrêter de croire qu'une éolienne à quelque km d'un bâtiment patrimonial va supprimer l'intérêt de ce dernier. Le fait d'avoir des éoliennes dans un paysage ne change en rien l'intérêt architectural des bâtiments historiques. Il me semble important de revoir notre ordre de priorité dans les prises de décision afin d'accélérer la transition énergétique, les enjeux sont bien trop importants.
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Publié le 17/01/2023 - 09h07
bbridier
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A - Des projets de petites tailles, mais répartis sur le territoire
Il faut impliquer chaque communautés dans la production de son énergie
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Publié le 17/01/2023 - 08h24
Laujar
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C - Un mix de ces deux solutions
Des projets de petite taille permettent l'alimentation locale mais certaines régions sont plus propices au fonctionnement optimal des éoliennes et doivent permettre la construction de grands parcs.
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Publié le 17/01/2023 - 07h47
thomas.savoye@engie.com
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C - Un mix de ces deux solutions
Un mix de ces 2 solutions. Un projet éolien est local et donc dimensionné pour le territoire en question
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Publié le 17/01/2023 - 00h52
trollsyl
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C - Un mix de ces deux solutions
Il faut de petites structures partout et les agrandir où c'est nécessaire.
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Publié le 17/01/2023 - 00h23
CogénérationNucléaire
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C - Un mix de ces deux solutions
Partout où nécessité fait loi. RTE devrait avoir son mot à dire, au moins pour consultation lors des phases de planifications d'appels d'offre, concernant ces installations pour éviter de trop grands déséquilibres qui demanderaient un renforcement du réseau.
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Publié le 17/01/2023 - 00h17
quel nom choisir
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
A moins de 20 km des consommateurs, et pour commencer une rangée d’éolienne du Louvre jusqu’à La Défense, ça aura de la gueule
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Publié le 17/01/2023 - 00h08
ASSOCIATION ICE INITIATIVES POUR LE CLIMAT ET L'ENERGIE
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D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Au regard de la production déjà décarbonée de la production d’électricité en France, du principe de subsidiarité, et des engagements pris par la France pour lutter efficacement contre le risque d’effet de serre climatique, la programmation abusive d’un développement massif de moyens de production intermittents, avec des coûts significatifs directs et indirects et des risques sur le système électrique, doit être suspendue. Ne pas respecter la priorité préalable sur le confortement du pilotable décarboné, et ne pas réaliser en conséquence un tel moratoire sur l’intermittent massif pourrait conduire, dans la situation de fragilité actuelle du système électrique en France, soit à augmenter les émissions de gaz à effet de serre, notamment par l’importation d’une électricité carbonée, soit à augmenter encore le risque de « black-out » sur le système électrique. Le caractère inacceptable d’une exposition volontaire de la France à un seul de ces deux risques majeurs, avec de forts enjeux associés de protection et de santé de la population comme de l’environnement, légitime de fait, au titre même du principe de précaution, un tel moratoire concernant le développement massif des productions intermittentes pour la production d’électricité. Les petites productions intermittentes peuvent ne pas être concernées par un tel moratoire au regard des niveaux de puissance engagées et afin de maintenir ouvertes des options renouvelables pour des systèmes insulaires ou pour le futur quand les marges du système électrique auront pu enfin être reconstituées. Les moyens de financement qui seront dégagés d’un tel moratoire seront utilement déployés pour procéder aux investissements nécessaires et importants dans l’isolation des bâtis et dans le développement du ferroviaire interconnecté entre territoires, en bénéficiant enfin de l’électricité décarbonée déjà disponible en France, pour le plus grand intérêt du plus grand nombre et des territoires. Des scientifiques experts reconnus (Le professeur André Berger en particulier) du climat ont alerté les responsables français et européens que le recours aux énergies prétendues renouvelables photovoltaïques et éoliennes sont « une ineptie ». En effet toutes les expériences récentes montrent que les investissements massifs dans l’éolien et le solaire photovoltaïque, refusés au nucléaire, ont provoqué simultanément une dépendance accrue envers des sources d’énergie lointaine, incertaines et chères, un accroissement des émissions de CO2, une hausse vertigineuse des prix de l’électricité pour les ménages et les entreprises, et des risques de coupures et de « black out ». Notre dépendance aux énergies fossiles à l’égard des pays étrangers affecte notre souveraineté. En pleine crise ukrainienne, si des pipe-lines ont été fermés, les importations de GNL (gaz liquide) en Europe en provenance de la Russie- achetées à prix d’or ont bondi de 13% (2022). Celles en provenance d’Amérique du Nord (gaz de schiste principalement) ont bondi de 150% en 2022. Mix électriques Il faut donc arrêter immédiatement d’accroître et même faire décroître la part des parcs éoliens et photoélectriques solaires, à terre ou en mer, dans notre mix électrique. Développement de l‘éolien terrestre Il doit être arrêté, et les parcs actuels démantelés au plus tôt. Il serait utile d’examiner les conflits d’intérêts qui ont accompagné leurs créations. Il détruit nos paysages, notre biodiversité, sans aucun intérêt pour le pays. Il provoque des affrontements dans les communes. Il fait perdre une grande valeur aux biens immobiliers.
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