Energie
Faire une proposition sur un thème en débat
4.3 - Quelle proposition souhaitez-vous faire sur le thème "Comment planifier, mettre en œuvre et financer notre transition énergétique ?"

-
Sortir du tout-croissance : changer de logiciel
Julien Quévy
05/01/2023 - 18h20
D'une manière générale une bonne partie des problèmes liés au dérèglement climatique commenceraient à être pris dans le bon sens si on cessait d'accorder autant d'importance à l'indicateur PIB. Il nous faut totalement refondre notre modèle et mettre en place de nouveaux indicateurs mieux à même de décrire notre idéal de société : la baisse des émissions de gaz à effet de serre peut en être un, celui de la biodiversité en serait un autre (et attention à ne pas la négliger... voir ci-dessous), un autre pourrait être l'Indice de développement humain (IDH)... Peut-être se référer à l'expérience du Bhoutan et son indicateur de Bonheur National Brut (BNB) ? D'autre part, attention à ne pas prendre la question environnementale que sous l'angle de l'énergie. Le dérèglement climatique, bien qu'étant en soi un problème extrêmement complexe et absolument nécessaire et urgent à résoudre, n'est que l'arbre qui cache la forêt de l'effondrement généralisé de la biodiversité sur Terre. Il faut placer cet enjeu au centre des débats au même titre au moins que le climat. Faire connaître les travaux des scientifiques concernés et de l'IPBES (GIEC de la biodiversité). Ecoutons Aurélien Barrau : "Même si on n'était pas à +1 °C de réchauffement climatique nous serions tout de même à l'aube de la sixième extinction de masse. [...] Quelle que soit l'origine de l'énergie, tant qu'elle est utilisée pour dévaster les fonds marins, pour exterminer les forêts, pour déployer le réseau routier pour permettre un accès touristiques aux rares espaces non artificialisés, pour instrumentaliser les cours d'eau avec des barrages qui exterminent 90 % des poissons, finalement l'origine de l'énergie c'est une question secondaire..." La biodiversité est la grande absente de cette consultation. Et on pourrait citer encore d'autres thématiques (l'eau...) : d'une manière générale c'est l'ensemble de la relation de l'homme à son environnement qui est à repenser. Vivement un programme politique qui s’attelle à travailler sur le sujet de façon systémique.
Partager la page
Soutiens
-
Un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation)
Serge De Sanguinet
05/01/2023 - 15h13
Réinterroger d’urgence le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : - faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, - développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, - et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
Partager la page
Soutiens
-
PROPOSITION SUR PLANIFIER, METTRE EN ŒUVRE ET FINANCER
Isa belle
05/01/2023 - 15h07
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliances industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussites industrielle mais aussi sociale. Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : - faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, - développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, - et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous-traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
Partager la page
Soutiens
-
PROPOSITION SUR PLANIFIER, METTRE EN ŒUVRE ET FINANCER
SEBASTIEN_77
05/01/2023 - 10h13
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
Partager la page
Soutiens
-
planifier et mettre en oeuvre
RICMIC
04/01/2023 - 16h34
voir le PTEF qui donne de très bons conseils
Partager la page
Soutiens
-
PROPOSITION SUR PLANIFIER, METTRE EN ŒUVRE ET FINANCER
SLYBIBI
04/01/2023 - 15h56
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale. Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : * faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, * développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, * et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous-traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
Partager la page
Soutiens
-
PROPOSITION SUR PLANIFIER, METTRE EN ŒUVRE ET FINANCER
ABarlet
04/01/2023 - 15h35
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale. Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : - faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, - développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, - et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
Partager la page
Soutiens
-
Un vrai travail sérieux, sans clientélisme
Sevey
04/01/2023 - 13h58
Planifier, c'est compliqué, c'est long, ça donne mal à la tête, mais c'est indispensable. Une fois les personnes habilitées à travailler sur ce sujet bien formées sur les enjeux énergie et climat, il importe qu'elles produisent des moutures de plans, revues régulièrement et amendées selon les aleas et les besoins, avec une ligne directrice qui reste claire. Il faut s'appuyer sur les nombreuses expertises techniques et scientifiques, et non pas sur le sensationnalisme ou l'opinion publique, souvent influencée par les médias qui traitent les sujets à la va-vite. Tant que l'ensemble (ou la majorité) de la population n'est pas formée correctement aux questions énergies et climat, on ne peut pas tenir compte de l'avis de tout le monde. Chaque avis est recevable, mais s'il est argumenté et que les porteurs sont prêts à débattre factuellement. Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif. Des travaux sérieux ont été réalisé, notamment par le Shift Project qui propose un Plan de Transformation de l'Economie Française, qui s'appuie sur de nombreux experts et assure un bouclage. Cela fait sens de commencer par là plutot que de réinventer la roue.
Partager la page
Soutiens
-
PROPOSITION SUR PLANIFIER, METTRE EN ŒUVRE ET FINANCER
MANGARTEURDEUF
03/01/2023 - 17h02
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale. Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : - faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, - développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, - et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
Partager la page
Soutiens
-
l'état
gthorez
03/01/2023 - 16h58
Seul l'état a suffisamment de hauteur de vue pour assurer une vision stratégique sur le long terme. Il doit s'occuper du financment et de la distribution afin de garantir une justice sociale et le meilleur coût au consommateur tout en préservant l'environnement.
Partager la page
Soutiens
-
blq@3ds.com
04/01/2023 - 11h26
comment contraindre les banques et autre investisseurs de sortir de tous les investissements dans les projets energie fossiles ; il faut plus de surveillance/controle/taxe de l'industrie Miniere les cop c'est bien mais ça ne sert à rien à part des declarations d'intentions , avoir de vrai decisions mondiales contraignantes
Soutiens
-
Ajouter ma contribution
La participation est terminée