Energie
Thème 2 : Comment satisfaire nos besoins en électricité, et plus largement en énergie, tout en assurant la sortie de notre dépendance aux énergies fossiles ?
2.5 - Le développement du photovoltaïque (1ère question)
Dans les différents scénarios de l’étude « Futurs énergétiques 2050 » de RTE, la France dispose en 2050 de 70 GW à 214 GW de photovoltaïque, soit respectivement plus de 5 et 16 fois la capacité installée fin 2021 (13 GW). Les mesures pour développer les projets photovoltaïques sur bâtiments, parking et friches industrielles et commerciales se poursuivront. Toutefois, des projets photovoltaïques au sol seront nécessaires.
Pour atteindre de tels objectifs, quels sont selon vous les deux principaux enjeux à prendre en compte dans le développement d'un projet photovoltaïque (2 réponses au choix) ?
- Sa visibilité et son impact paysager
- Son impact en termes d’occupation des sols
- Son impact sur la biodiversité
- Son impact financier local (pour la collectivité ou les riverains)
- Son impact financier national afin de conserver un prix de l’électricité compétitif pour les consommateurs
- La participation des collectivités locales ou des citoyens à la gouvernance du projet
- La concertation avec tous les acteurs du territoire tout au long de la conception des projets
- Autre proposition

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Publié le 21/10/2022 - 16h32
Franck
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B - Son impact en termes d’occupation des sols
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C - Son impact sur la biodiversité
Un projet PV doit s'intégrer dans son territoire et être respectueux de son environnement. Il ne doit pas venir en concurrence d'activités existantes, mais en synergie avec ses dernières. L'agrivoltaïsme en est l'exemple dans la mesure où un bon projet agricole est défini. Il peut alors devenir utile pour faire face aux aléas climatiques et offrir un complément de revenu aux agriculteurs du site.
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Publié le 21/10/2022 - 16h26
jblanc
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B - Son impact en termes d’occupation des sols
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G - La concertation avec tous les acteurs du territoire tout au long de la conception des projets
p
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Publié le 21/10/2022 - 16h23
falton
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C - Son impact sur la biodiversité
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H - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
En cohérence avec mon approche globale "Un max du nucléaire et des ENR là où ça gêne personne": 1. Faire de l'électricité à partir de la lumière du soleil, c'est super! 2. Vous n'êtes pas étranger au fait que ça marche pas la nuit et pas beaucoup l'hiver. Du coup, tant qu'on a pas: * Soit la capacité de stocker les surplus de production de la journée * Et de quoi assurer les besoins après le coucher du soleil Du coup, l'intérêt est moindre. Pas inexistant du tout, mais moindre. De plus le photovoltaïque est très consommateur d'espaces vierges. Donc s'il faut raser des forêts ou remplacer des champs ou des prairies par des panneaux solaires, je ne suis pas trop pour. Donc: 1. Oui le photovoltaïque c'est super 2. Mais ça prend beaucoup de place au détriment d'espaces naturels et c'est fragile (un peu de grosse grêle et panneau solaire cassé) 3. Donc il faut vraiment que ça soit super super efficace pour justifier 2. 4. Du coup, je pense qu'il faut vraiment limiter son usage à des zones pauvres en biodiversité (toîts, zones minérales, etc...) 5. Et le coupler à du stockage ou alors développer les panneaux solaires semi-transparents pour pouvoir les déployer au dessus de cultures.
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Publié le 21/10/2022 - 16h16
rstasse
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B - Son impact en termes d’occupation des sols
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G - La concertation avec tous les acteurs du territoire tout au long de la conception des projets
Je soutien un développement solaire sur les sites dégradés et déjà artificialisé de toutes les tailles : toitures des bâtiments neufs et anciens, parkings, friches industrielles, terrains pollués, carrières en post exploitation, centres d'enfouissement de déchet fermé, etc. L'implication territoriale et citoyenne est aussi importante que l'éolien même si l'acceptabilité des projets est meilleur. De nouveaux projets émergent dans les territoires sur des terrains agricoles et naturels. Pour ces derniers, il faut appliquer le principe de précaution maximal, et s'assurer que la production d'énergies est bien au service de la production agricole et non l'inverse. Un référentiel des synergies positives entre production agricole et solaire serait intéressant à créer pour aider les territoires à accompagner certains projets au cas par cas. La friche agricole, l'est souvent pour des raisons administratives et de reprises, elle ne peut être l'unique déclencheur des projets solaires agricoles au sol.
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Publié le 21/10/2022 - 16h11
Crapal142
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D - Son impact financier local (pour la collectivité ou les riverains)
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E - Son impact financier national afin de conserver un prix de l’électricité compétitif pour les consommateurs
Optimiser les coûts
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Publié le 21/10/2022 - 15h46
Christian COURBIAN
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B - Son impact en termes d’occupation des sols
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H - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Avec le projet Horizéo en Gironde de 1000 ha, il y a de quoi se poser des questions sur le grand photovoltaïque !
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Publié le 21/10/2022 - 15h38
emmanueld
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D - Son impact financier local (pour la collectivité ou les riverains)
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E - Son impact financier national afin de conserver un prix de l’électricité compétitif pour les consommateurs
Il faut relancer la construction de panneau made in France, c'est une source de création d'emplois très importante.
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Publié le 21/10/2022 - 15h36
EAga
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B - Son impact en termes d’occupation des sols
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C - Son impact sur la biodiversité
les développement massifs de champs photovoltaïques ne doit pas aller de pair avec de l'artificialisation des sols et de la perte de biodiversité, en supprimant des zones de garrigue par exemple. Cela ne doit pas non plus impliquer la destruction de terres agricoles, à préserver pour les générations futures. Il faut privilégier les zones déjà artificialisées, comme les parkings, les toits de bâtiments, voir les routes. la problématique actuelle de désimperméabilisation des sols doit être prise en compte.
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Publié le 21/10/2022 - 15h35
jf.klopfenstein
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B - Son impact en termes d’occupation des sols
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H - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)
Porter à 6 kwc la puissance installée par les particuliers bénéficiant d’une procédure simplifiée Aujourd’hui les procédures sont simplifiées et les couts moindres pour les installations photovoltaïques jusqu’à une production solaire de 3 kwc. Elles bénéficient en effet d’une TVA à l’implantation au taux de 10% et d’une exonération de l’impôt sur le revenu sur la production vendue, sans parler du niveau de prime à l’installation. Or, une installation de 3 kwc comporte généralement 9 ou 10 de panneaux de 1m x 1.60m soit 16 m², soit moins de la moitié de l’espace disponible sur un pan de toit de la majorité des maisons. Donc par simplicité et calcul financier la plupart des installations existantes (et futures si rien ne change) sur les toits des particuliers sont d’une puissance inférieure de 50% à ce qu’elles pourraient être. Avant d'envisager de raser des forets comme c'est à l'étude dans les landes, ce qui est mauvais en terme environnemental et donne de arguments faciles aux opposants à l'énergie solaire, occupons nous de nos toits!
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Publié le 21/10/2022 - 15h25
PACEM
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B - Son impact en termes d’occupation des sols
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C - Son impact sur la biodiversité
Le potentiel d'utilisation des surfaces déjà artificialisées est considérable ( toits, parkings, ponts, ports..). L'utilisation de cet espace et le développement de l'autoconsommation ( couplage avec les véhicules électriques par exemple) doit être une priorité. Ce ne sera pas la priorité des fournisseurs d'énergie puisque ce sont autant de kwh consommés qui leur échappent ou injectés sur leurs réseau qui complexifient sa gestion. C'est donc à l'état et ses structures (ADEME?) de porter cette priorité ( nb : cela suppose que l'on arrête d'affaiblir les agences de l'état) Les opérateurs voudront, eux, équiper de grandes surfaces " rentables". L'état doit définir les conditions de ces opérations ( zones non naturelles déjà partiellement anthropisées, compatibilité avec le maintien d'une certaine biodiversité, synergie avec certaines activités agricoles ( ombrières pour maraichage, etc..). Des programmes de recherche doivent être menés pour définir les cas d'usage pertinents avec leur balance avantages/inconvénients. Ces surfaces, si elles étaient dédiées, devraient être prises en compte dans le décompte de l'artificialisation des terres.
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