Energie
Faire une proposition sur un thème en débat
4.3 - Quelle proposition souhaitez-vous faire sur le thème "Comment planifier, mettre en œuvre et financer notre transition énergétique ?"

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Plafonner les bénéfices des sociétés
Lancient
29/12/2022 - 18h49
Il faut d’urgence bloquer et plafonner les bénéfices de TOUTE Les sociétés Qui pose toute installation (panneau solaire, pompe à chaleur, isolation exact.) Pris en charge ou aider par l’état !!! Ses sociétés font un maximum de bénéficie sur le dos du contribuable et limite Par ce faite la pose d’installation à moindre prix !!
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L'énergie, l'affaire de tous
BOUCHET
29/12/2022 - 11h14
L'énergie est restée trop longtemps une affaire d'état, une affaire d'experts, voir d'élites. Faire le pari de l'explication (savoir), de l'implication (débats citoyens locaux) et de l'action (encourager les écogestes, les travaux de rénovation...) c'est faire le pari que l'énergie, enjeu majeur, devienne l'affaire de tous. L'état aura besoin de relais locaux, collectivités territoriales et structures économiques locales, en associant les acteurs de l'ESS
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réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au coeur de l’énergie
CathMT
29/12/2022 - 09h28
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au coeur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
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Stoper la fausse concurrence
letripeurfou
29/12/2022 - 08h20
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
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L'intérêt collectif, pas les intérêts des marchés
GJ31100
29/12/2022 - 08h19
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : - faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, - développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, - et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous-traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
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FAVORISER HORIZONTALITE DES PRODUCTION ENERGETIQUE et LOCAL
nicolasseynat49100
29/12/2022 - 02h41
les orientations d'une production locale dois permettre à un territoire donnée un travail sur un équlibre de connaitre les données technique via le nombres de KWh ou MWh ou TWh du territoire ; des consommations ; de sa part des typologie des ENR Les contributions que j'apporte sont d'intégrer plus aisément aux cadres et aux outils nécessaires pour assurer une gestion intégrée et durable des ressources à même de favoriser la progression vers une économie circulaire et de contribuer au triangle eau-énergie-alimentation . D'avoir une interconnexions entre les régions sur la connaissance territorialisé de leurs consommations . Les objectifs sont d'avoir une part d'échange entre la productions des particulier ; d'avoir un lieux de stockage électrique correspondant sois à une communauté de commune ou à une communauté d'agglomérations . Apres étude en cours sur la CPE et réunion publique il démontre la faisabilité d'un échange horizontale sur la production d ENR ; autonome ; simple par la connaissance de sa consommations/productions dans chaque capitales des com-com ou de com-agglo . En outre la part à l'échelle de la communauté politique européen ou CPE du nucléaires est de 36,7% contre 69% en France . En résultat aux niveaux de cette CPE ; représentant que 0,4% d'énergie fossile contre 7,4% . Enfin ; La compensations sont de privilégier des système d'éolienne horizontale en com-agglo et vertical dans les zone maritime et rurale . L'horizontalité dois permettre une composassions de la productions du FIOUL dans les énergie solaires De passer du gaz naturel vers des l'intégration méthanisations locale et de lancer un Appel à projet region FEDER - contrat plan état région envers les agriculteurs ( avec une reversement rémunérer aux KWh envers cette tranche de population ) Ce qui via les donnée concrète des autorités directoires des Com-Com + des Com-agglo une livraison de Biogaz 100% Local et si des tracteur roule aux GNV local ; alors la suppression TOTAL de carburant fossile est réellement possible . Sur le volet exportation de notre énergie en dehors du territoires Français est pertinent cars les objectifs permette via mon étude ( en cours de peaufinage aux niveaux de la CPE ); une capacités d'avoir un parc de voiture 100% électrique . ( même si ensemble de la population CPE/FR pourra en avoir d'ici 2035) Les données d'exportation potentielles de la CPE en exportations est de 778,2 TWH contre 87 Twh en France ; de 393 Twh en importation de la CPE contre 44 Twh en France . les données concrète de l'étude en cours démontre que la production importante à l'échelle de la CPE est de 1242,7 TWh est EOLIEN ( Contre 36 Twh en France ) sur les 4671,8 TWH total en production d'électricité . En conclusion privilégier le développement de éoliens et du solaires et hydraulique ( uniquement en montagne ) ; privilégier une augmentation de l'installation de nouveaux EPR pour avoir un mix énergétique équilibrée .
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Appliquer à l'énergie une logique d'intérêt général au bénéfice des citoyens, de l'économie et de la planète
Colombe
28/12/2022 - 18h09
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale. Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : - faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, - développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, - et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
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Dépenses d'investissement, oui, de fonctionnement, non.
Aguirre
28/12/2022 - 17h08
Plutôt que de jeter l'argent par les fenêtres en dépenses de fonctionnement (chèques énergie, subventions au prix de l'essence, niches fiscales de certains secteurs d'activité sur les énergies fossiles, ...), privilégions les investissements dans des moyens de production bas carbone et respectueux de l'environnement.
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Retourner sur des bases saines en visant l'intérêt colectif
AYV
28/12/2022 - 16h56
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au cœur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale. Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : - faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, - développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, - engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif
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Urgence
Bobobss
28/12/2022 - 16h24
Il faut d’urgence réinterroger le modèle de marché et remettre le souci du bien commun au coeur de l’énergie, en renouant avec des logiques de planification, en sécurisant à l’échelle européenne les approvisionnements, en revenant aux fondamentaux de la coopération et de la solidarité pour faire front à la logique de marché et de libre concurrence, et en développant des alliance industrielles européennes pour fortifier l’UE dans la concurrence mondiale et sans idéologie sur les solutions bas carbone à appliquer mais en visant à propulser les entreprises françaises et européennes à l’avant-garde de la transition énergétique pour des réussite industrielle mais aussi sociale Il faut tout autant miser sur des emplois durables et une responsabilité sociale des entreprises, ce qui impose de : faire des emplois le moteur social de la transition énergétique, de la résilience du système énergétique et de la structuration des filières industrielles françaises, développer un dialogue social de qualité pour une transition juste en repensant et adaptant les formations et les dispositifs de reconversions pour répondre aux nouveaux besoins de qualification, et engager l’État sur les enjeux sociaux liés à la transition énergétique, et en particulier ceux des emplois, en veillant à une programmation pluriannuelle des emplois et des compétences, comme à un équilibre entre les territoires ce qui impose une approche transverse intersectorielle et donc interministérielle qui pourrait se construire sous la forme d’un ministère de l’énergie capable de fédérer les politiques (climat, industrielle, recherche et innovation) avec les besoins futurs de compétences en qualité et en nombre. Il faut enfin s’engager sur la voie d’une responsabilité sociétale, ne serait-ce que parce que le secteur énergétique porte les enjeux sociétaux et sociaux et doit à cet effet être moteur dans le développement d’une économie plus responsable, avec une plus forte représentation des salariés, un dialogue renforcé avec les parties prenantes et des politiques de sous traitance plus responsables. Cette responsabilité doit aussi s’accompagner d’un meilleur partage de la valeur ajoutée et d’un modèle de gouvernance de l’entreprise plus adapté aux enjeux et priorités de la transition énergétique au service de l’intérêt collectif.
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