Energie
Faire une proposition sur un thème en débat
4.1 - Quelle proposition souhaitez-vous faire sur le thème "Comment adapter notre consommation pour atteindre l’objectif de neutralité carbone ?"

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Décroissance éthique et réduction des inégalités
Bard
09/11/2022 - 09h40
La décroissance de notre modèle est indispensable à notre survie. Elle passera nécessairement par une réflexion sur l'utilisation éthique de nos ressources, une meilleure égalité des profits et une taxation maximale des grands groupes industriels et des grandes fortunes.
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Agriculture, transports, numérique
Aurélie Rollier
08/11/2022 - 21h01
je pense que ces 3 volets nous concernent tous L'agriculture et l'agro alimentaire via ce que l'on mange, si on fait un bilan CO2 en général c'est le 1er poste. On progresse trop doucement sur certains produits vendus en supermarché, on doit éduquer sur ces points bien manger, de saison , cuisiner , savoir faire pousser ...pour que certains produits n'existent plus dans le futur .. Les transports et l'impact de l'avion, pourquoi acheter prêt de chez soi et pas faire venir amazon via son livreur tous les jours dans son village .. Le numérique , les conso astronomique des datas centers, l'impact d'un répondre à tous , je pense que l'on doit éduquer sur ce cela aussi
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agriculture, pédagogie et reparabilité : 3 points qui n'apparaissent pas ou peu
kroM
08/11/2022 - 18h12
je partage le point de vue d'un autre post, l'agriculture n'est pas du tout abordé alors que c'est un enjeux majeur pour le rechauffement climatique en terme d'emission et d'impact direct du déreglement climatique sur leur moyen production. le levier de la réparabilité comme moyen de sobriété de consommation tout en maintenant une économie circulaire n'est pas abordé non plus. le changement de paradigme sur notre économie necessite beaucoup de pédagogie et de prise en compte individuellement mais dans de nombreux metiers et de nombreuses entreprises de comprendre les enjeux et de trouver un espace dans ce futur inconnu. il me semble que le cout d'accompagnement de cette transformation est negligé ou non abordé
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Alimentation et Numérique
Noemiiie
08/11/2022 - 18h03
Bien sur il faut limiter les gaspillages énergétiques privé et publique (éclairage extérieur, panneau publicitaire...) tout en augmentant la production d'énergie propre, mais pour diminuer nos rejets de CO2, il faut absolument revoir notre alimentation. Plus de végétal +++ : un régime carné produit presque 2 fois plus de CO2 qu'un régime végétarien. Il faut par ailleurs 5 à 7 fois plus de surface agricole pour produire 1 kg de protéine carnée que pour 1 kg de protéine végétale. Les consommations en eau sont également divisées par 2. Il faut arrêter d'importer du soja pour produire de la viande. Consommons du local, de saison, non transformé. Il faudrait accompagner dès le plus jeune âge à la cuisine/diététique (ce qui aura par ailleurs un intérêt de santé publique). Développer l'ecoscore permettrait d'aider les consommateur à s'y retrouver. Limiter la dématérialisation / le développement de la 5G / les réseaux sociaux et plateforme de streaming. Informer et former chacun à la pollution numérique.
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Des prises de décisions fortes à tous les niveaux
A
08/11/2022 - 15h56
Prendre des décisions forte pour l'énergie surtout au niveau politique : rénovation des bâtiments, électrification des usages, sobriété
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Sobriété
Sibipiruna
08/11/2022 - 15h33
Je pense qu'il faut arrêter la gabegie energetique: Diminution de l'eclairage publique qui est en surnombre, un lampadaire sur deux suffit Respect de la loi sur les enseignes lumineuses qui doivent être éteintes la nuit Arret de l'eclairage nocturnes entre 24 h et 5 h. Il faut l'imposer par une loi. Imposer un quota d'energie par famille. Interdire les lumieres d'agrement dans les jardins Interdire l'eclairage des monuments Mettre des panneaux solaire sur tous les toits de France Suppression de l'avantage des salariés de EDF qui ne paient pas l'électricité. La sobriété doit être la ligne directrice de la transition énergétique. Nous sommes gavés en permanence et en particulier par une consommation excessif d'électricité. Il est temps de limiter notre consommation en imposant des quotas, en sanctionnant fortement les contrevenants.
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Alimentation et agriculture
Vala
07/11/2022 - 21h21
Une part importante de nos émissions de CO2 est lié à notre alimentation. Il va sans dire que la consommation de viande représente la plus grande partie, mais le sujet touche plus largement à la mise en œuvre d'une agriculture plus respectueuse des écosystèmes. Je ne vois pas abordées ces questions dans cette concertation .
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kroM
08/11/2022 - 18h02
je plussois, quid de notre alimentation et de l'usage des engrais venant de la pétrochimie ?
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cout énergétique du calendrier scolaire et des horaires des lycées et du supérieur
ravillion.herve@free.fr
07/11/2022 - 20h52
combien coute en énergie un mois de Janvier aux collectivités locales fort chère en chauffage et en éclairage et que dire des horaires de 16h à 19h dans les lycées en plein pic de consommation alors qu'en avril c'est les vacances et en juin les lycées sont vide d'enseignement. Cette belle période de printemps qui n'a pas besoin de chauffage pas besoin d'éclairage. et en Juillet et Aout ?? On va me dire qu'il fait trop chaud.Quand il fait trop chaud les travailleurs en extérieur font comme horaire 6h00 /12h00. Mais bon le Climat ou le bilan Carbone ne concerne pas la bio chronologie et la plage...............
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Consommation des batiments : Des politiques incitatives fortes plutôt qu'une police de la température !
Itaipe
06/11/2022 - 12h46
D'importants gains d'énergie peuvent être faits sur l'usage des bâtiments mais ils ne doivent pas être coercitifs pour le confort des citoyens (exemple interdiction de chauffer à plus de 18°C sous peine de poursuite pénales), qui ne seraient pas acceptés/pas souhaitable d'un point de vue du progrès humain. La réduction doit plutôt se faire via les technologies et normes qu'une réduction du confort. La politique actuelle de rénovation des logements (via l'aide MaPrime rénov et via des contraintes sur l'interdiction de location avec de la visibilité donnée bien en amont) doit être poursuivie (en aidant tous les foyers et pas que les plus modestes, certains propriétaires bailleurs ou membres de la classe moyenne pouvant ne pas avoir les moyens aujourd'hui de faire ces rénovations). Cela peut également se faire avec une baisse de la fiscalité plutôt qu'une subvention (ex pour un propriétaire baisse de x% de la taxe foncière en fonction de la qualité du DPE). Les administrations et collectivités territoriales doivent également être exemplaires avec un grand plan d'investissement pour diminuer la consommation d'énergie des hopitaux, écoles, et tous les bâtiments publics. Les entreprises doivent également être incités via des normes restrictives et des aides (comme pour les particuliers) afin que l'immobilier de bureau et de commerce soit également moins consommateur d'énergie. Des interdictions doivent être mises en place pour les pratiques abusives (exemple interdit de climatiser un magasin si portes ouvertes ou si température >25°c, ou bien éviter de chauffer des bureaux ou universités s'il fait 20°C à l'extérieur). Enfin, les normes pour l'immobilier neuf doivent être durcies afin d'inciter l'innovation sur les matériaux et modes de chauffage, en parallèle d'une baisse drastique de la fiscalité immobilière, pour qu'in Fine le coût de ces normes plus restrictives n'enchérissent pas le coût du logement (réduction des taxes foncières, baisse des PS sur les revenus immobiliers - ex flat tax à 30% à l'instar des revenus mobiliers, baisse de l'IFI; qui permettraient d'augmenter les investissements dans l'immobilier et donc de compenser la hausse des coûts). Il faut cependant être vigilant à ce que ces normes soient réalisables pour ne pas baisser le nombre de nouveaux logements mis sur le marché.
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Des objectifs de consommation d'énergie pragmatiques en lien avec les intérêts du pays (souverainneté, économie, impact sur le changement climatique à l'échelle mondiale)
Itaipe
06/11/2022 - 12h20
Les objectifs actuels de la SNBC visant à diviser par deux la consommation d'énergie du pays entre 2012 et 2050 sont utopistes, contraires aux intérêts de la nation et contreproductifs sur le plan du changement climatique. En effet, cela nécessiterait d'accentuer grandement la désindustrialisation et l'importation de production agricole avec des effets catastrophiques sur notre souveraineté et sur notre balance commerciale (et impacts économiques associés). Cela ne contribuerait pas pour autant à la résolution des problèmes de changement climatique, certes réduisant la consommation d'énergie sur notre territoire, mais l'augmentant d'un point de vue global en ajoutant des coûts énergétiques pour le transport du fret international, et en produisant ses biens industriels et agricoles avec une consommation d'énergie plus forte que s'ils étaient produits en France. Ainsi, il est indispensable de viser une consommation d'énergie stable (et en hausse pour l'électricité une partie de l'énergie du pétrole pour la mobilité ou le chauffage allant être redirigé vers l'électricité), avec donc les moyens de production associés, en prévoyant une augmentation de la consommation d'énergie industrielle (liée à une réindustrialisation massive) en parallèle d'une baisse de la consommation liée à des politiques incitatives et innovations technologiques sur la mobilité, sur les bâtiments, sur la diminution du fret et sur une industrie relocalisée avec une production plus propre (même si plus coûteuse). Au global, la production de carbone mondiale liée à la consommation des français sera ainsi en baisse. La stratégie énergétique et bas carbone devant se faire en cohérence avec la stratégie globale du gouvernement (notamment économique et en matière de souveraineté). Ainsi, il faut revoir la fiscalité avec une forte baisse de la fiscalité pour les biens produits en France (sur la production et sur le travail; afin de réduire ses coûts et être compétitifs), cette fiscalité pourra être modulée en fonction de la propreté et sobriété énergétique de la production (par rapport au type de bien produit certains étant plus énergivores par nature que d'autres) pour inciter les entreprises à développer et utiliser des technologies propres et sobres même si plus coûteuses. En parallèle, il faut créer une fiscalité sur les biens importés, et supprimer les subventions sur les biens importés (exemple 6.000€ pour l'achat d'un véhicule électrique à réserver pour ceux fabriqués sur le sol français), afin que le coût final pour le consommateur permette d'inciter ce dernier à consommer français (et donc plus propre énergétiquement), ainsi que générer des recettes pour compenser les baisses de fiscalité suscitées. Les impacts positifs sur l'économie (baisse du chômage, hausse des salaires liées à la hausse de création de richesse etc...) permettront de compenser pour les citoyens l'inflation liée à cette relocalisation. Le fret international (aérien, maritime ou terrestre) doit être lourdement fiscalisé, et le fret national incité fiscalement pour privilégier le rail (associé à son développement) par rapport à la route. Enfin, un écoscore peut être créer pour tous les biens industriels vendus en France (notamment ameublement, vêtement et électroménagers), à l'instar de l'écoscore et du nutriscore sur les biens alimentaires; prenant en compte le coût de carbone global du produit (à la fabrication, au transport et au recyclage), incitant à consommer plus propre (et donc vraisemblablement local de part la réduction des coûts énergétiques de transport, ou bien inciter les industriels exportant vers la France a être également plus vertueux s'ils veulent vendre via un bon ecoscore). Si toutes ces actions ne suffisent pas à ce que le coût des produits made in france soit suffisamment compétitif /t aux produits importés, ni que l'impact sur la réduction du bilan carbone liée à la consommation de biens industriels soit suffisant; une refonte de la TVA peut être faite, pour l'indexer sur l'ecoscore (malus si ecoscore élevé et bonus si bon ecoscore).
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